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Critique de cicou45
C'est exactement le genre de lectures dont j'avais besoin en ce moment : celles de ceux qui ne font pas réfléchir, qui, malgré les épreuves, finissent toujours bien...Bref, une de celle que j'appelle une "histoire à la Cendrillon". cela fait toujours du bien de temps à autres, surtout lorsque tout va mal dans sa vie et que vous avez l'impression de les accumuler. Eh bien là, l'avantage avec ce genre de série, c'est la même chose : vous les accumulez parce que cela vous fait du bien mais le problème, c'est que cela finit parfois à s'essouffler un peu, comme c'est le cas dans ce troisième tome. de plus, je vais devoir me remettre à lire des livres un peu plus "sérieux" par nécessité de travail car je dois rencontrer un auteur prochainement et le moins que je puisse faire, c'est de lire son ouvrage au préalable. de plus, autre petit souci, moindre, je ne suis pas sûre qu'ils aient le quatrième tome à la médiathèque dans laquelle je m'approvisionne.
Passons maintenant dans ce qui vous intéresse le plus, chers lecteurs, ce que j'ai pensé de l'histoire en elle-même après vous en avoir fait un petit résumé : Calypso, notre héroïne, est enfin une adolescente pleinement épanouie, avec de vraies amies, un prince comme petit amie, des études dans l'une des écoles privées les plus prestigieuses d'Angleterre...tout ce qu'une adolescente pourrait rêver d'avoir quoi. Il faut dire que l'univers dans lequel évolue les ados de cette série disqualifie d'entrée de jeu les adolescentes de nos jours, potentielles lectrices de ces ouvrage car, contrairement à celles de la vraie vie, celles de Tyne O'Connell sont toutes (ou presque) nées avec une cuillère en argent dans la bouche. Pour les autres, elles sont soit filles de stars du Rock'n Roll, soit eh bien elles sont comme elles sont mais leurs parents ont tout de même de quoi leur payer les frais de scolarité assez exorbitants donc autant dire que ce n'est pas la jeune fille de 14 / 15 ans que l'on a l'habitude de croiser tous les jours.
Dans ce troisième volet, Calypso doit faire face à la crise conjugale que traversent ses parents et va devoir apprendre à supporter Sarah (sa mère), qui n'a rien trouver de mieux que de faire ses valises et de traverser l'Atlantique pour venir s'installer tout près de sa fille chérie. Mêlez à cela la pression constante qui pèse sur notre pauvre héroïne concernant les futurs qualifications pour les nationales d'escrime (sport qu'elle pratique à haut niveau depuis de longues années), une nouvelle surveillante tyrannique, le fait de devoir partager sa chambre avec Honey (la pire de toutes les pestes qui fasse aussi ses études à Saint-Augustin) et enfin des quiproquos avec son prince chérie et vous vous ferez alors une idée de l'état dans lequel le lecteur retrouve son héroïne après l'avoir laissé sur un petit nuage à la fin du deuxième tome.
Alors, certes, c'est vrai qu'il s'en passe des choses et que les rebondissements ne manquent pas mais j'ai l'impression que l'auteure s'essouffle un peu et ne se base uniquement que sur le même type de problèmes (qui soit dit entre nous, si il n'y avait que ça comme problèmes existentiels, toutes les femmes ou hommes d'ailleurs auraient de quoi être les êtres les plus heureux du monde) mais bon, comme je l'ai dit, là encore nous sommes dans la fiction. Une lecture qui n'en reste pas moins agréable à lire, un ouvrage qui se lit d'une traite et qui est loin d'être prise de tête. A découvrir si cela vous chante !
Passons maintenant dans ce qui vous intéresse le plus, chers lecteurs, ce que j'ai pensé de l'histoire en elle-même après vous en avoir fait un petit résumé : Calypso, notre héroïne, est enfin une adolescente pleinement épanouie, avec de vraies amies, un prince comme petit amie, des études dans l'une des écoles privées les plus prestigieuses d'Angleterre...tout ce qu'une adolescente pourrait rêver d'avoir quoi. Il faut dire que l'univers dans lequel évolue les ados de cette série disqualifie d'entrée de jeu les adolescentes de nos jours, potentielles lectrices de ces ouvrage car, contrairement à celles de la vraie vie, celles de Tyne O'Connell sont toutes (ou presque) nées avec une cuillère en argent dans la bouche. Pour les autres, elles sont soit filles de stars du Rock'n Roll, soit eh bien elles sont comme elles sont mais leurs parents ont tout de même de quoi leur payer les frais de scolarité assez exorbitants donc autant dire que ce n'est pas la jeune fille de 14 / 15 ans que l'on a l'habitude de croiser tous les jours.
Dans ce troisième volet, Calypso doit faire face à la crise conjugale que traversent ses parents et va devoir apprendre à supporter Sarah (sa mère), qui n'a rien trouver de mieux que de faire ses valises et de traverser l'Atlantique pour venir s'installer tout près de sa fille chérie. Mêlez à cela la pression constante qui pèse sur notre pauvre héroïne concernant les futurs qualifications pour les nationales d'escrime (sport qu'elle pratique à haut niveau depuis de longues années), une nouvelle surveillante tyrannique, le fait de devoir partager sa chambre avec Honey (la pire de toutes les pestes qui fasse aussi ses études à Saint-Augustin) et enfin des quiproquos avec son prince chérie et vous vous ferez alors une idée de l'état dans lequel le lecteur retrouve son héroïne après l'avoir laissé sur un petit nuage à la fin du deuxième tome.
Alors, certes, c'est vrai qu'il s'en passe des choses et que les rebondissements ne manquent pas mais j'ai l'impression que l'auteure s'essouffle un peu et ne se base uniquement que sur le même type de problèmes (qui soit dit entre nous, si il n'y avait que ça comme problèmes existentiels, toutes les femmes ou hommes d'ailleurs auraient de quoi être les êtres les plus heureux du monde) mais bon, comme je l'ai dit, là encore nous sommes dans la fiction. Une lecture qui n'en reste pas moins agréable à lire, un ouvrage qui se lit d'une traite et qui est loin d'être prise de tête. A découvrir si cela vous chante !
