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Critique de Colibrille
Après avoir lu d'une traite le premier tome, me voici déjà en train de rédiger ma critique pour le second ! Il faut dire que je l'ai lu tout aussi avidement que le précédent. L'intrigue est particulièrement efficace.
La collaboration (l'amitié?) de Maya, Bregan, Nel et Wan soulève de nombreuses protestations au sein de leurs clans respectifs. C'est l'occasion pour nous voir d'observer les réactions que cela suscite au sein des clans Yokaïs. Tandis que le père de Maya semble par exemple s'ouvrir progressivement à l'idée d'une alliance, la mère de Nel se montre toujours plus inflexible. Ce tome laisse également plus de place aux humains, qui hélas s'entêtent dans leur fou projet d'exterminer les Yokaïs. Dans cette série, les humains en prennent clairement pour leur grade ! Non content d'avoir épuisé les ressources de la planète, ils persistent à réitérer leurs erreurs passées.
Comme je l'avais deviné, un triangle amoureux s'installe bel et bien dans ce tome. Désormais, Bregan n'est plus le seul à nourrir des sentiments pour Maya. Wan semble peu à peu prendre conscience de son propre attachement à la jeune louve. Je ne sais pas trop quoi penser de cette romance. Je n'ai jamais apprécié les héroïnes dont les sentiments font la girouette en cours d'histoire, je suis donc un peu déçue par Maya. Qui plus est, ce trio amoureux ne cesse de me rappeler celui de Tamlin, Feyre et Rhys, de la série "Un palais de roses d'épines" de Sarah J. Maas. Néanmoins, Wan est loin, très loin, de me séduire comme Rhys l'a fait !
A la lecture de ce second tome, je confirme mon précédent ressenti : selon moi, cette série est destinée aux adolescents car elle contient des scènes violentes et possède une certaine ambivalence qui peut déranger.
La collaboration (l'amitié?) de Maya, Bregan, Nel et Wan soulève de nombreuses protestations au sein de leurs clans respectifs. C'est l'occasion pour nous voir d'observer les réactions que cela suscite au sein des clans Yokaïs. Tandis que le père de Maya semble par exemple s'ouvrir progressivement à l'idée d'une alliance, la mère de Nel se montre toujours plus inflexible. Ce tome laisse également plus de place aux humains, qui hélas s'entêtent dans leur fou projet d'exterminer les Yokaïs. Dans cette série, les humains en prennent clairement pour leur grade ! Non content d'avoir épuisé les ressources de la planète, ils persistent à réitérer leurs erreurs passées.
Comme je l'avais deviné, un triangle amoureux s'installe bel et bien dans ce tome. Désormais, Bregan n'est plus le seul à nourrir des sentiments pour Maya. Wan semble peu à peu prendre conscience de son propre attachement à la jeune louve. Je ne sais pas trop quoi penser de cette romance. Je n'ai jamais apprécié les héroïnes dont les sentiments font la girouette en cours d'histoire, je suis donc un peu déçue par Maya. Qui plus est, ce trio amoureux ne cesse de me rappeler celui de Tamlin, Feyre et Rhys, de la série "Un palais de roses d'épines" de Sarah J. Maas. Néanmoins, Wan est loin, très loin, de me séduire comme Rhys l'a fait !
A la lecture de ce second tome, je confirme mon précédent ressenti : selon moi, cette série est destinée aux adolescents car elle contient des scènes violentes et possède une certaine ambivalence qui peut déranger.
