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Critique de Alfaric


Dans ce tome 3 Luffy et son pouvoir d’élasticité est opposé à Baggy et son pouvoir de fragmentation, et c’est plein d’action et d’humour (chatouilles, coups dans les parties, ligotages et projections…). Puis d’émotion avec le flashback nous montrant que Baggy et Shanks le Roux faisaient autrefois partie du même équipage, et avec les villageois qui malgré leur peur viennent à la rescousse du maire Buddle (scène que j’ai déjà vue à l’identique dans des mangas antérieurs, genre "Dragon Quest : Emblem of Roto"). Au final tout le monde pleure à chaude larmes, et la team Luffy désormais augmenté de Nami la cartographie arnaqueuse repart à l’aventure…

Île machin 4 :
La team Luffy fait la rencontre de Pipo, le garçon qui criait aux pirates, et ses compagnons Piment, Carotte et Oignon… Ce dernier passe son temps à déjouer la surveillance de Krapador, archétype du majordome victorien dixneuvièmiste, pour réconforter la riche orpheline Kaya avec ses bobards tous plus invraisemblables les uns que les autres (Kaya, c’est Nami avec une autre coupe de cheveux : Eiichirô Oda a vraiment du mal avec le gent féminine)…
Survient alors Jango l’hypnotiseur, caricature de Michael Jackson qui ne marche qu’en moonwalk, qui porte en permanence des lunettes de soleil pour éviter de s’auto hypnotiser (je suppose que je devrais être mort de rire, mais pas du tout en fait). Ce chef des pirates du « Chat Noir » est un fait le second du terrible capitaine Crow qui sous l’identité de XXXX conspire contre Kaya et le village. Pipo quoi découvre le pot aux roses, en en tant fils du pirate Yasopp, compagnon d’armes de Shanks le Roux, n’écoute que son courage et court prévenir tout le monde… Mais personne ne le croit !
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