La narratrice vit dans une ancienne école maternelle, à présent déserte. Tout est de taille réduite et elle-même se fond dans ce décor miniature. Un ancien conservateur de musée qui ne s'exprime qu'en chantant vient lui rendre visite. Elle décrypte pour lui des lettres aux caractères de plus en plus minuscules que sa bien-aimée lui envoie. Dans l'ancien auditorium, à l'écart, sont entreposées de
petites boîtes transparentes...
Je n'ai pas été envoutée du tout par cet ouvrage. le malaise était trop fort pour que je sois sensible à la poésie du livre et aux mythes revisités : la lyre et autres instruments de musique composée d'os et de cheveux d'enfants morts m'ont achevée. J'ai parcouru la fin du livre à grandes enjambées. J'étouffais.
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