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Critique de lectiole


La couverture donne le ton. La postface mettant en scène la mangaka sous les traits d'un raton-laveur et son mari Goupil nous présente le musée des tortures à San Gimignano avec la vierge de fer. On se doute par conséquent qu'Arte est en fâcheuse posture dans cet opus. On est à Florence, la ville des Medicis et de Lorenzaccio, et si Arte est une portraitiste, elle se retrouve mêlée à des intrigues qui la dépassent. Mais de ce fait, toute une trajectoire qui semblait tracée est brisée. D'une certaine manière, ce tome nous offre un dénouement même s'il semble difficile à croire. C'est presque une histoire jamais écrite mais qu'on devinait depuis les premiers chapitres de la série qui est en train de s'effondrer. À partir de là, difficile de savoir si nous nous trouvons au milieu ou à la fin de la série, si ça marque le commencement d'un nouvel arc ? C'est en tout cas un tour de force mais assez déstabilisant.
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