>
Critique de Yanoune
Un yakuza chez le psy... Ou le bouquin qui m'a surpris, je m'attendais pas à ça...
Pitch :
et bin non, pas de pitch... pas de pitch parce que ce sont des nouvelles, sans aucune continuité narrative. On passe d'un patient à l'autre comme ça hop. Cinq patients, cinq nouvelles. Et entre rien, que dalle.
Je pensais que c'était un roman, et bin non !
Je pensais que le héro serait un yakuza, et bin non, c'est le psy, le docteur Ibaru. Et Ibaru il est secoué, aussi secoué que ses patients pourrait-on dire. Rien ne l'arrête pour les aider.. Rien.. faire du trapèze pas de problème, du baseball aussi, devenir écrivain ou garde du corps de ce fameux yakuza (en bas de l'échelle le yakuza hein, très loin du big boss) et d'autres trucs...
Lui même a une perversion, il aime les piqûres, donc si vous passez par son cabinet vous allez y avoir droit, elle sera donné par la très belle, très pulpeuse et très revêche Mayumi. Vous pourrez essayer d'oublier la douleur en perdant votre regard dans son magnifique décolleté.
Et franchement boaf... ouais ok c'est rigolo (encore que).. Mais c'est franchement léger léger..
Pas transcendant, ni dans les problèmes des patients ( de base : la société, le regard de l'autre, le groupe et en faire parti y rentrer, la famille et ses attentes, la position sociale et ses attentes... du de base.)
Ouais de la base, même si on passe par des professions différentes, rares...
Par contre je dois dire que celui de la romancière m'a fait sourire, envie de dire sans doute c'est pas faux...
J'avais pas vu que c'était un tome deux... et heu franchement ça m'a pas donné envie de lire le 1, pas grave ça arrive.
Pitch :
et bin non, pas de pitch... pas de pitch parce que ce sont des nouvelles, sans aucune continuité narrative. On passe d'un patient à l'autre comme ça hop. Cinq patients, cinq nouvelles. Et entre rien, que dalle.
Je pensais que c'était un roman, et bin non !
Je pensais que le héro serait un yakuza, et bin non, c'est le psy, le docteur Ibaru. Et Ibaru il est secoué, aussi secoué que ses patients pourrait-on dire. Rien ne l'arrête pour les aider.. Rien.. faire du trapèze pas de problème, du baseball aussi, devenir écrivain ou garde du corps de ce fameux yakuza (en bas de l'échelle le yakuza hein, très loin du big boss) et d'autres trucs...
Lui même a une perversion, il aime les piqûres, donc si vous passez par son cabinet vous allez y avoir droit, elle sera donné par la très belle, très pulpeuse et très revêche Mayumi. Vous pourrez essayer d'oublier la douleur en perdant votre regard dans son magnifique décolleté.
Et franchement boaf... ouais ok c'est rigolo (encore que).. Mais c'est franchement léger léger..
Pas transcendant, ni dans les problèmes des patients ( de base : la société, le regard de l'autre, le groupe et en faire parti y rentrer, la famille et ses attentes, la position sociale et ses attentes... du de base.)
Ouais de la base, même si on passe par des professions différentes, rares...
Par contre je dois dire que celui de la romancière m'a fait sourire, envie de dire sans doute c'est pas faux...
J'avais pas vu que c'était un tome deux... et heu franchement ça m'a pas donné envie de lire le 1, pas grave ça arrive.
