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Critique de Marylva
Surface, comme les prédédents romans d'Olivier Norek est une parfaite réussite. Et ça démarre fort, très fort. Dès les premières lignes on est propulsé dans une intervention qui dérape complètement et Noémie, capitaine de police, reçoit un tir en plein visage. Après des semaines d'opérations et de soins intensifs, Noémie, femme meurtrie mais forte, décide de reprendre le travail.
Pourtant, son retour n'est pas souhaité par sa hiérarchie qui voit son visage esquinté comme le rappel constant d'une intervention policière qui a mal tourné. Ainsi, contrainte et forcée, elle quitte Paris pour un petit commissariat de l'Aveyron dont la fermeture est envisagée. Il faut dire que la délinquance y est faible … jusqu'au jour où un fût contenant un cadavre est retrouvé flottant à la surface du village englouti d'Avalone.
Noémie va alors mener une enquête riche en rebondissements.
Suspense, émotion, humour aussi m'ont fait tourner les pages jusqu'à la fin surprenante que je n'ai pas vu venir.
C'est sûr, c'est maintenant confirmé, avec Olivier Norek on est sûr de passer un excellent moment de lecture.
Pourtant, son retour n'est pas souhaité par sa hiérarchie qui voit son visage esquinté comme le rappel constant d'une intervention policière qui a mal tourné. Ainsi, contrainte et forcée, elle quitte Paris pour un petit commissariat de l'Aveyron dont la fermeture est envisagée. Il faut dire que la délinquance y est faible … jusqu'au jour où un fût contenant un cadavre est retrouvé flottant à la surface du village englouti d'Avalone.
Noémie va alors mener une enquête riche en rebondissements.
Suspense, émotion, humour aussi m'ont fait tourner les pages jusqu'à la fin surprenante que je n'ai pas vu venir.
C'est sûr, c'est maintenant confirmé, avec Olivier Norek on est sûr de passer un excellent moment de lecture.
