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Critique de latina
C'est drôle, mais quand je regarde un téléfilm policier, je suis intéressée par le début, puis au fur et à mesure que le temps avance, mon intérêt s'émousse…et je m'endors.
Et bien pour les romans policiers, c'est la même chose !
J'avais cédé à l'appel des sirènes : « Olivier Norek, il est génial, on n'arrive pas à lâcher le roman ! ». Je me suis dit que pour une fois, j'allais lire un polar.
Donc les premières pages m'ont fortement intéressée : l'accident de travail de Noémie Chastain, qui doit réapprendre à se regarder dans une glace, vu qu'un des plus grands dealers l'a accueillie avec une décharge de plombs en pleine figure. Suivie par un psychiatre, elle réintègre un mois après son unité, la Brigade des Stups à Paris, mais là, c'est la douche froide. Elle n'arrive plus à tenir un revolver et à faire face aux autres.
Elle est donc envoyée contre son gré dans l'Aveyron, en pleine campagne, où apparemment il ne se passe rien. Apparemment ! Car certains villageois cachent bien leur jeu, un secret qui date de 25 ans auparavant et qui est une véritable bombe…aquatique.
Jusqu'ici, tout allait bien pour moi.
Mais lentement, insidieusement, j'ai senti une infime pointe d'ennui.
J'ai lu les rebondissements d'usage, les coups de surprise, les jeux de mots des policiers (ils ont toujours de l'humour, ces gens-là, dans les livres ou les téléfilms), les histoires d'amour ou de désamour, les rapports de force, bref tout le tralala que je trouve tellement habituel.
L'écriture n'est pas originale, et de ce côté-là non plus je ne pouvais m'échapper.
Et puis le coupable – les coupables ? – je l'avais senti venir.
Bref, si j'ai passé un moment plaisant, je ne peux pas dire que je suis folle de ce roman, comme si j'étais restée à la surface…
Et bien pour les romans policiers, c'est la même chose !
J'avais cédé à l'appel des sirènes : « Olivier Norek, il est génial, on n'arrive pas à lâcher le roman ! ». Je me suis dit que pour une fois, j'allais lire un polar.
Donc les premières pages m'ont fortement intéressée : l'accident de travail de Noémie Chastain, qui doit réapprendre à se regarder dans une glace, vu qu'un des plus grands dealers l'a accueillie avec une décharge de plombs en pleine figure. Suivie par un psychiatre, elle réintègre un mois après son unité, la Brigade des Stups à Paris, mais là, c'est la douche froide. Elle n'arrive plus à tenir un revolver et à faire face aux autres.
Elle est donc envoyée contre son gré dans l'Aveyron, en pleine campagne, où apparemment il ne se passe rien. Apparemment ! Car certains villageois cachent bien leur jeu, un secret qui date de 25 ans auparavant et qui est une véritable bombe…aquatique.
Jusqu'ici, tout allait bien pour moi.
Mais lentement, insidieusement, j'ai senti une infime pointe d'ennui.
J'ai lu les rebondissements d'usage, les coups de surprise, les jeux de mots des policiers (ils ont toujours de l'humour, ces gens-là, dans les livres ou les téléfilms), les histoires d'amour ou de désamour, les rapports de force, bref tout le tralala que je trouve tellement habituel.
L'écriture n'est pas originale, et de ce côté-là non plus je ne pouvais m'échapper.
Et puis le coupable – les coupables ? – je l'avais senti venir.
Bref, si j'ai passé un moment plaisant, je ne peux pas dire que je suis folle de ce roman, comme si j'étais restée à la surface…
