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Critique de celinezug
Bien loin des indiens dans leur réserve, des chamans, des hommes médecines et des femmes en groupe autour du tipi, l'auteur s'attèle à rappeler que les Indiens ont eux aussi dû migrer vers les villes et y apprendre à survivre.
Déracinés, stigmatisés, sans mémoire et vivant des conditions indignes ils sont les ombres de leurs ancêtres porteurs de drames intimes et de violence qu'ils s'appliquent à eux-mêmes.
Cette histoire croisée entre plusieurs personnages qui le temps d'une journée veulent renouer avec le traditionnel pow-wow est bien celle des indiens urbains d'aujourd'hui.
Tous ont une bonne raison de s'y rendre et porte l'espoir de retrouver ces racines qui n'ont plus de terre ou s'étendre.
La fête va virer à la catastrophe et une fois encore les autochtones vont voir mourir leurs semblables en même temps que le volonté de sauver ce qu'il leur reste de culture.
Un premier roman puissant, actuel et nécessaire à notre mémoire.
Déracinés, stigmatisés, sans mémoire et vivant des conditions indignes ils sont les ombres de leurs ancêtres porteurs de drames intimes et de violence qu'ils s'appliquent à eux-mêmes.
Cette histoire croisée entre plusieurs personnages qui le temps d'une journée veulent renouer avec le traditionnel pow-wow est bien celle des indiens urbains d'aujourd'hui.
Tous ont une bonne raison de s'y rendre et porte l'espoir de retrouver ces racines qui n'ont plus de terre ou s'étendre.
La fête va virer à la catastrophe et une fois encore les autochtones vont voir mourir leurs semblables en même temps que le volonté de sauver ce qu'il leur reste de culture.
Un premier roman puissant, actuel et nécessaire à notre mémoire.
