« Je me méfie des chemins tout tracés. Et le même désir : inventer ma vie. » (p. 114)
« J’ai besoin de me confronter à la maladie et d’une certaine façon à la mort. Je m’aperçois que c’est un trait constant de mon comportement : non seulement ne pas fuir quand la vie se montre cruelle, mais aller au-devant du malheur […], me confronter à lui, le regarder dans les yeux, comme je le ferais avec un adversaire sur un ring, afin de trouver des stratégies pour le vaincre. » (p. 87)
« Me sentir endurante et musclée est aussi important pour moi que d’être en capacité de rester concentrée ou de faire des choix. » (p. 29)
« Très tôt, je me dis « Si tu veux une vie différente, il n’y a que l’école qui pourra t’aider. » C’est aussi le discours de ma mère. » (p. 15 & 16)