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Critique de Etpourquoipasquatre
Tout est parti il y a un an de notre passage au salon du livre Jeunesse de Lorient. Gnomeo, 7 ans, passionné d'Histoire et de BD craque pour une BD jeunesse qui reprend une dizaine des Métamorphoses d'Ovide. Bien sûr, une fois à la maison je cherche partout, mais impossible de remettre la main sur mon exemplaire pourtant étudié à la fac, tant pis. Et puis un jour de flânage chez ma libraire (celle que mon banquier déteste), je croise cette petite version poche qui coûte trois fois rien, évidemment j'étais perdue !
Il aura ensuite fallu attendre un challenge "livre rouge" pour le sortir mais ce fut avec une grande joie car j'ai retrouvé la magie de ma première lecture ! J'ai toujours aimé et même été fascinée par les mythologies (qu'elles soient grecques, romaines, égyptiennes) qui sont des vestiges absolument incroyables d'un passé bien lointain mais réel.
Ces Métamorphoses d'Ovide sont un peu les prémices des contes finalement avec leurs histoires courtes reliées les unes aux autres, toujours une morale à retenir de chaque aventure des différents protagonistes que ce soit sur leurs choix ou leur personnalité. Il faut bien sûr les lire avec le recul du contexte historique car la cruauté y trouve une bonne place (commes les contes de Perrault, d'Andersen et compagnie d'ailleurs) mais vraiment, je ne m'en lasse jamais.
Il aura ensuite fallu attendre un challenge "livre rouge" pour le sortir mais ce fut avec une grande joie car j'ai retrouvé la magie de ma première lecture ! J'ai toujours aimé et même été fascinée par les mythologies (qu'elles soient grecques, romaines, égyptiennes) qui sont des vestiges absolument incroyables d'un passé bien lointain mais réel.
Ces Métamorphoses d'Ovide sont un peu les prémices des contes finalement avec leurs histoires courtes reliées les unes aux autres, toujours une morale à retenir de chaque aventure des différents protagonistes que ce soit sur leurs choix ou leur personnalité. Il faut bien sûr les lire avec le recul du contexte historique car la cruauté y trouve une bonne place (commes les contes de Perrault, d'Andersen et compagnie d'ailleurs) mais vraiment, je ne m'en lasse jamais.
