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Critique de kreen78
Je lis plus souvent des romans tirés des faits de la Seconde Guerre que des témoignages. Passionnée par cette période historique, j'ai donc lu avec un énorme intérêt ce premier volet des mémoires d'Aloysius Pappert. Quelle histoire ! J'en ressors totalement imprégnée. J'ai l'impression d'avoir lu au ralenti tellement je souhaitais garder chaque mot, chaque situation en mémoire.
Cet homme fait malheureusement partie de ceux qui sont partis en guerre alors qu'ils étaient contre les motivations d'Hitler. Aloysius a été dans une famille allemande antinazie. Son père lui a inculqué les vraies valeurs de la vie, de la transparence, de la compassion, du respect de l'autre. Et c'est peut-être ce qui va le sauver. Il gardera foi en Dieu durant ce supplice militaire et verra beaucoup de ses comparses tomber au fil des années. Mais lui, non. Il se sent né sous une bonne étoile. Et c'est peut-être ce qui nous aide à ne pas ressentir de moments de pathos. Malgré les moments graves du récit, j'avais l'impression qu'une certaine légèreté dans la narration m'aidait à passer le cap de chaque épisode important de sa vie. Et je ressens encore une réelle gratitude envers l'auteur. Autant le livre pénètre dans notre esprit et notre âme, autant il ne prend pas une place d'horreur permanente. J'ai découvert certaines facettes de la guerre que je n'avais lues encore nulle part.
Je tire mon chapeau à Aloysius Pappert car il a gardé espoir, il a réussi à trouver en chaque moment ce que beaucoup avaient déjà perdu. Cela montre aussi que ce livre est d'une grande humilité.
Je remercie fortement Babelio et les Editions Salvator car je me sens imprégnée encore quelques jours après la fermeture de ce livre des sentiments de l'auteur. J'en ressors changée intérieurement. Et je lirai la deuxième partie dès que je le pourrai.
Cet homme fait malheureusement partie de ceux qui sont partis en guerre alors qu'ils étaient contre les motivations d'Hitler. Aloysius a été dans une famille allemande antinazie. Son père lui a inculqué les vraies valeurs de la vie, de la transparence, de la compassion, du respect de l'autre. Et c'est peut-être ce qui va le sauver. Il gardera foi en Dieu durant ce supplice militaire et verra beaucoup de ses comparses tomber au fil des années. Mais lui, non. Il se sent né sous une bonne étoile. Et c'est peut-être ce qui nous aide à ne pas ressentir de moments de pathos. Malgré les moments graves du récit, j'avais l'impression qu'une certaine légèreté dans la narration m'aidait à passer le cap de chaque épisode important de sa vie. Et je ressens encore une réelle gratitude envers l'auteur. Autant le livre pénètre dans notre esprit et notre âme, autant il ne prend pas une place d'horreur permanente. J'ai découvert certaines facettes de la guerre que je n'avais lues encore nulle part.
Je tire mon chapeau à Aloysius Pappert car il a gardé espoir, il a réussi à trouver en chaque moment ce que beaucoup avaient déjà perdu. Cela montre aussi que ce livre est d'une grande humilité.
Je remercie fortement Babelio et les Editions Salvator car je me sens imprégnée encore quelques jours après la fermeture de ce livre des sentiments de l'auteur. J'en ressors changée intérieurement. Et je lirai la deuxième partie dès que je le pourrai.
