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Critique de jalleks
Il est des critiques difficiles à écrire.
Parce qu'on a l'impression d'en dévoiler trop sur l'histoire avec nos mots.
La surprise d'un lecteur ne devrait souvent se cantonner qu'au quatrième de couverture.
Il arrive parfois qu'une amie se laisse porter par l'envie de lire un ouvrage suite à une discussion endiablée autour d'un verre.
Derrière les portes m'a fait de l'oeil pendant des semaines. Car le titre m'interpellait, ayant une fascination certaine pour les portes. Et ce qu'elles peuvent dissimuler. Ou inviter.
J'ai fini par lire le pitch. Puis par rencontrer l'auteure.
C'en était trop pour moi, lectrice addictive.
Le livre a fini dans mes mains.
Écriture à la première personne.
C'est Grace qui vous parle. Jeune femme au coeur parfois brisé, un bon boulot, jolie mais complexée, le coeur sur la main, cuisinière hors pair, rêvant du prince, extra.
Elle épousera un homme charmant, beau, intelligent, romantique, généreux, altruiste, à la situation professionnelle confortable.
Leur rencontre ferait pâlir de jalousie William et Kate.
Vous êtes vous déjà demandé comment se comportent vos collègues, si drôles à la machine à café, et si prompts à vous tenir la porte avant de rentrer en réunion, lorsqu'ils se retrouvent père et époux après une journée de boulot dans les pattes ?
Grace va vous en donner une ébauche.
Vous pensez avoir tout lu et tout entendu.
Vous pensez que hausser le ton, à la limite de l'hystérie, est déjà un acte insensé et déplacé, qui fait de vous un demi-monstre que vous ne reconnaissez pas ?
Chacun est libre de donner l'image qu'il souhaite de lui-même.
Chacun est libre d'interpréter ce qu'il voit, de fantasmer la vie des autres .
Mais Grace est là et vous expliquera son présent.
Ses meringues parfaites, ses talons hauts si chics assortis à sa robe magnifique.
Elle vous contera son passé.
Celui qui a fait bifurquer le présent.
C'est beau l'Amour. Jusqu'à ce que mort et souffrance s'en suivent.
L'angoisse monte en intensité.
La perversité nous paralyse.
L'innommable se précise.
BA Paris a fait fort dans cette histoire qui semble invraisemblable et si cruelle. Et pourtant, certainement vécue en ce moment même, par votre voisine. Ouvrez l'oeil. A défaut de leur porte.
Parce qu'on a l'impression d'en dévoiler trop sur l'histoire avec nos mots.
La surprise d'un lecteur ne devrait souvent se cantonner qu'au quatrième de couverture.
Il arrive parfois qu'une amie se laisse porter par l'envie de lire un ouvrage suite à une discussion endiablée autour d'un verre.
Derrière les portes m'a fait de l'oeil pendant des semaines. Car le titre m'interpellait, ayant une fascination certaine pour les portes. Et ce qu'elles peuvent dissimuler. Ou inviter.
J'ai fini par lire le pitch. Puis par rencontrer l'auteure.
C'en était trop pour moi, lectrice addictive.
Le livre a fini dans mes mains.
Écriture à la première personne.
C'est Grace qui vous parle. Jeune femme au coeur parfois brisé, un bon boulot, jolie mais complexée, le coeur sur la main, cuisinière hors pair, rêvant du prince, extra.
Elle épousera un homme charmant, beau, intelligent, romantique, généreux, altruiste, à la situation professionnelle confortable.
Leur rencontre ferait pâlir de jalousie William et Kate.
Vous êtes vous déjà demandé comment se comportent vos collègues, si drôles à la machine à café, et si prompts à vous tenir la porte avant de rentrer en réunion, lorsqu'ils se retrouvent père et époux après une journée de boulot dans les pattes ?
Grace va vous en donner une ébauche.
Vous pensez avoir tout lu et tout entendu.
Vous pensez que hausser le ton, à la limite de l'hystérie, est déjà un acte insensé et déplacé, qui fait de vous un demi-monstre que vous ne reconnaissez pas ?
Chacun est libre de donner l'image qu'il souhaite de lui-même.
Chacun est libre d'interpréter ce qu'il voit, de fantasmer la vie des autres .
Mais Grace est là et vous expliquera son présent.
Ses meringues parfaites, ses talons hauts si chics assortis à sa robe magnifique.
Elle vous contera son passé.
Celui qui a fait bifurquer le présent.
C'est beau l'Amour. Jusqu'à ce que mort et souffrance s'en suivent.
L'angoisse monte en intensité.
La perversité nous paralyse.
L'innommable se précise.
BA Paris a fait fort dans cette histoire qui semble invraisemblable et si cruelle. Et pourtant, certainement vécue en ce moment même, par votre voisine. Ouvrez l'oeil. A défaut de leur porte.
