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Critique de florigny
La vie sans histoire d'Anna Neale, entomologiste à Dublin, femme amoureuse mariée à David, bascule lorsqu'elle découvre son époux mort, piqué au vif par une abeille. Dans les suites de sa disparition, elle va de surprise en surprise : il menait une double vie, sa carrière florissante d'avocat la laisse néanmoins dans le dénuement et elle doit se résoudre à vendre sa maison pour couvrir ses dettes.
C'est Matthew qui se présente comme acheteur, et devant la détresse de cette femme, la prend sous son aile protectrice, lui offrant un nouveau toit, ainsi que son amour. Bien sûr, les apparences sont trompeuses, Matthew n'est pas exactement celui qu'il prétend être, et Anna, malgré son apparence de faible femme dépassée par les drames qui la frappent, va, au final montrer une belle force de caractère qui lui permettra de vaincre l'adversité.
Piège de soie offre une intrigue complexe savamment construite, aux personnages nombreux, dont les destinées s'enchevêtrent au gré de l'imagination de cette auteure néo-zélandaise, exilée en Irlande. J'ai retrouvé avec plaisir l'écriture classique de Julie Parsons dans ce thriller paru en 1999. A noter l'évocation au cours du roman d'un tableau intitulé la Madone Litta, représentant une vierge allaitante, le bébé tenant dans la main un chardonneret. Décidément, ce modeste oiseau des jardins est un sujet intéressant pour la littérature.
C'est Matthew qui se présente comme acheteur, et devant la détresse de cette femme, la prend sous son aile protectrice, lui offrant un nouveau toit, ainsi que son amour. Bien sûr, les apparences sont trompeuses, Matthew n'est pas exactement celui qu'il prétend être, et Anna, malgré son apparence de faible femme dépassée par les drames qui la frappent, va, au final montrer une belle force de caractère qui lui permettra de vaincre l'adversité.
Piège de soie offre une intrigue complexe savamment construite, aux personnages nombreux, dont les destinées s'enchevêtrent au gré de l'imagination de cette auteure néo-zélandaise, exilée en Irlande. J'ai retrouvé avec plaisir l'écriture classique de Julie Parsons dans ce thriller paru en 1999. A noter l'évocation au cours du roman d'un tableau intitulé la Madone Litta, représentant une vierge allaitante, le bébé tenant dans la main un chardonneret. Décidément, ce modeste oiseau des jardins est un sujet intéressant pour la littérature.
