J'arrête là, à presque la moitié. Pourtant je cherche encore la moitié qui m'intéressait dans l'idée : un homme qui a du mal avec la modernité et qui continue, par exemple, de payer en espèce, de vouloir rencontrer les gens en vrai, d'acheter dans les magasins, etc. Mais le style est lourd, les phrases à rallonge. Et surtout, combien de fois, en finissant un paragraphe je me suis demandé : "qu'est-ce que je viens de lire là" ?! Ca ne rentre pas, j'ai survolé des mots. Il y a ceux qui passent les idées simplement, et les autres. Comme d'habitude, je tenterai (plus tard) un autre de ses romans..
Commenter  J’apprécie         230