Série de lettres à une île déserte, inhabitable, intermède entre deux livres où se déploie une méditation sur la solitude, la capacité à s'inventer un lieu, un écart, une île et son histoire. Dans ce récit épistolaire
Irma Pelatan s'invente des contraintes, une lettre par jour, comme pour masquer l'absence de destinataire, pour se plonger dans la grande incertitude de toute oeuvre en chantier.
Lettres à Clipperton parvient à se faire récit pudique, dévoilement détourné des hantises de l'autrice.
Lien :
https://viduite.wordpress.co.. Commenter  J’apprécie         310