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Critique de christinebeausson
Des personnages improbables qui prennent la plume les uns après les autres.
JH et Gaby, la base de la communauté,
Jahan et Eliott, pas vraiment ami plutôt comme chien et chat,
Dominique et Fred, "le couple",
Jack,
Et Taïkan, le touriste venu d'ailleurs.
Dans une ville avant tout gastronomique.
On y mange et on y boit, du bon surtout, même si des fois c'est pas si terrible que ça, mais du jaja c'est du jaja !
On découvre la cuisine venue d'ailleurs avec des produits venus d'ailleurs, un vrai régal.
Les illustrations sont au scalpel, à l'unisson avec une telle histoire.
Ma seule réserve portera une fois de plus sur le supplément sensé nous donner envie de découvrir la ville, lieu de la nouvelle, Jean Michel Boissier veut trop en faire.
C'est trop dense, comme un catalogue qui énumère les lieux, les quartiers, les immeubles ...
Pour ça il y a des guides touristiques qui eux s'entoureront de photos flatteuses dignes de cartes postales, pour nous donner envie d'essayer de faire la même !
Nous sommes très rapidement en overdose, nous survolons le texte, nous ne nous émouvons pas, nous ne sommes même plus curieux, simplement lassés, pressés d'en finir avec cette énumération sans âme.
Ce ne sera pas grâce à ce mauvais dépliant touristique qu' un jour j'irais vérifier si "J'y sais, j'y aime, j'y suis de Lyon. Que voulez vous à force d'essayer de comprendre je mets plein de y partout, c'est ça être lyonnais !"
JH et Gaby, la base de la communauté,
Jahan et Eliott, pas vraiment ami plutôt comme chien et chat,
Dominique et Fred, "le couple",
Jack,
Et Taïkan, le touriste venu d'ailleurs.
Dans une ville avant tout gastronomique.
On y mange et on y boit, du bon surtout, même si des fois c'est pas si terrible que ça, mais du jaja c'est du jaja !
On découvre la cuisine venue d'ailleurs avec des produits venus d'ailleurs, un vrai régal.
Les illustrations sont au scalpel, à l'unisson avec une telle histoire.
Ma seule réserve portera une fois de plus sur le supplément sensé nous donner envie de découvrir la ville, lieu de la nouvelle, Jean Michel Boissier veut trop en faire.
C'est trop dense, comme un catalogue qui énumère les lieux, les quartiers, les immeubles ...
Pour ça il y a des guides touristiques qui eux s'entoureront de photos flatteuses dignes de cartes postales, pour nous donner envie d'essayer de faire la même !
Nous sommes très rapidement en overdose, nous survolons le texte, nous ne nous émouvons pas, nous ne sommes même plus curieux, simplement lassés, pressés d'en finir avec cette énumération sans âme.
Ce ne sera pas grâce à ce mauvais dépliant touristique qu' un jour j'irais vérifier si "J'y sais, j'y aime, j'y suis de Lyon. Que voulez vous à force d'essayer de comprendre je mets plein de y partout, c'est ça être lyonnais !"
