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Critique de LoupAlunettes
Cet album ci se placera indéniablement sous le thème grandir.
La petite fille de l'histoire prendra confiance au fur et à mesure et ôtera les petites roues de son vélo.
Disons plutôt qu'elles seront mangées.
Et bien oui, ça n'arrive pas tous les jours.
D'ailleurs qui peut se targuer d'avoir rencontrer un jour dans la rue une énorme boule de poils blancs en vadrouille sur un vélo qui mange des roues?
Vous, maintenant, en découvrant cette histoire.
Mais qu'il est prévenant ce drôle de personnage!
Là, à déranger son agenda de grosse bête cycliste, à protéger la petite sans casque qui veut le rattraper sur le chemin avec ses cinq roues, tel le champion du peloton de tête d'un tour de France.
On peut être une fonceuse certe mais il faut adopter d'abord quelques précautions.
Mais qu'il est adorable et amical ce nouveau copain!
Entre quelques leçons sur le chemin, ils prendront confiance l'un en l'autre, feront connaissance, deviendront copains, profitant des goûters, des pansements sur les genoux et des siestes récupératrices.
Mais quel drôle de duo!
Mange que je mange tes petites roues, petite héroïne, la monumentale boule de poils te déclare prête à filer sur les roues comme une grande!
Un album plein de tendresse et d'humour, dans ses échanges partagés, bavards de la petite fille et muets de la grosse bête.
Elle est aussi minuscule qu'il est grand et ça c'est très comique.
Les "clowneries" se multiplient sur les double-pages, un sacré numéro de film comique en noir et blanc porté à la couleur.
On appréciera grandement la petite tranche d'enfance imaginée par Sébastien Pelon.
Très frais, très chouette, très drôle.
La petite fille de l'histoire prendra confiance au fur et à mesure et ôtera les petites roues de son vélo.
Disons plutôt qu'elles seront mangées.
Et bien oui, ça n'arrive pas tous les jours.
D'ailleurs qui peut se targuer d'avoir rencontrer un jour dans la rue une énorme boule de poils blancs en vadrouille sur un vélo qui mange des roues?
Vous, maintenant, en découvrant cette histoire.
Mais qu'il est prévenant ce drôle de personnage!
Là, à déranger son agenda de grosse bête cycliste, à protéger la petite sans casque qui veut le rattraper sur le chemin avec ses cinq roues, tel le champion du peloton de tête d'un tour de France.
On peut être une fonceuse certe mais il faut adopter d'abord quelques précautions.
Mais qu'il est adorable et amical ce nouveau copain!
Entre quelques leçons sur le chemin, ils prendront confiance l'un en l'autre, feront connaissance, deviendront copains, profitant des goûters, des pansements sur les genoux et des siestes récupératrices.
Mais quel drôle de duo!
Mange que je mange tes petites roues, petite héroïne, la monumentale boule de poils te déclare prête à filer sur les roues comme une grande!
Un album plein de tendresse et d'humour, dans ses échanges partagés, bavards de la petite fille et muets de la grosse bête.
Elle est aussi minuscule qu'il est grand et ça c'est très comique.
Les "clowneries" se multiplient sur les double-pages, un sacré numéro de film comique en noir et blanc porté à la couleur.
On appréciera grandement la petite tranche d'enfance imaginée par Sébastien Pelon.
Très frais, très chouette, très drôle.
