Il faut savoir que malgré mon intérêt et ma curiosité pour
Les Somnambules, l'histoire ne partait pas avec des points bonus. Les histoires d'ados et d'amours racontées à la première personne ne sont généralement pas celles avec lesquelles je suis la plus tendre. Et puis Quentin et Enzo ont agit sur moi comme une petite madeleine de
Proust. Leur histoire m'a rappelé celles des fanfictions que je lisais par centaines quand j'étais ado, qui misaient tout sur l'amour et l'envie de voir ses personnages favoris vivre une histoire passionnelle, en faisant fi du reste.
(...)
Je ne regrette pas du tout de m'être penchée sur le cas des Somnambules et je crois même que c'est une histoire qui aurait pu être défendue par une grosse maison d'édition, si celles-ci prenaient encore quelques risques. Heureusement que les petites (et l'auto-édition) sont encore là pour ça, et nous permettent de découvrir des auteurs différents.
La chronique complète est à découvrir par ici :
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