Mélangez les
Wilt de
Tom Sharpe et une pincée de
Françoise Dorin, ajoutez une exquise plume, enjouée, sautillante et élaborée, pleine de jeux de mots et de parenthèses où l'auteur se glisse. Vous aurez cette petite marchande de
Pennac. S'agissant de l'intrigue, je n'ai rien vu venir, ça me semble tout à fait « inanticipable », un peu comme dans La conjuration des imbéciles ou le seigneur des porcheries.
Mention spéciale aux néologismes (du type « quinpsycaillerie ») et aux aphorismes (« c'est toujours à la première personne du singulier qu'on meurt pour de bon »). Carton jaune quand même à l'illustration enfantine et pour tout dire ratée de l'édition Folio 1992. le titre du livre n'a pas non plus ma faveur.
Commenter  J’apprécie         250