La guerre est semblable au feu, lorsqu'elle se prolonge elle met en péril ceux qui l'on provoquée.
Lorsque le coup de tonnerre éclate, il est trop tard pour se boucher les oreilles.
Si le général est généreux, mais incapable de diriger, bienveillant, mais incapable de rétablir l'ordre, ses soldats, tels des enfants gâtés, seront inutiles.
Tout l'art de la guerre est basé sur la duperie.
Qui connaît l’autre et se connaît lui-même, peut livrer cent batailles sans jamais être en péril. Qui ne connaît pas l’autre mais se connaît lui-même, pour chaque victoire, connaîtra une défaite. Qui ne connaît ni l’autre ni lui-même, perdra inéluctablement toutes les batailles.
Si nous voulons que la gloire et les succès accompagnent nos armes , nous ne devons jamais perdre de vue : la doctrine , le temps , l’espace , le commandement , la discipline .
Quand vous êtes capable, feignez l’incapacité. Quand vous agissez, feignez l’inactivité. Quand vous êtes proche, feignez l’éloignement. Quand vous êtes loin, feignez la proximité.
La doctrine, l'équité, l'amour pour tous ceux qui sont nos subordonnés et, pour tous les hommes en général, la science des ressources, le courage et la valeur : telles sont les qualités qui doivent caractériser celui qui est revêtu de la dignité de Général.
La guerre a le mensonge pour fondement et le profit pour ressort.
Tout le succès d'une opération réside dans sa préparation.