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Critique de sandraboop
Les addictions d'un petit garçon qui a mal vécu la séparation de ses parents et qui n'a pas compris qu'il n'y était pour rien. Les addictions de ce petit garçon né dans les années 70 de parents si beaux qu'il avait le sentiment qu'on les lui volait ; que ce soit dans ce spot télé pour un pub où son père semblait être le père et le mari modèle d'une autre famille ou que ce soit lors des meetings politiques que sa stratège de mère organisait pour le premier ministre canadien Pierre Trudeau.
Les addictions de ce petit garçon devenu homme avec le sentiment de ne jamais suffire pour avoir l attention et l amour des autres.
Les addictions de cet homme qui côtoie, adolescents, de futures stars de petits et grands écrans, qui est beau, et à qui la vie semble sourire mais dont les premiers cachets télé lui permettent de tomber dans l alcool, puis la drogue (seule limite l 'héroïne) et en toile de fond la clope.
Son parcours, ses amours, son respect pour les femmes et il en a eues, ses conneries aussi avec les femmes et il en a fait. Sa lutte contre lui même. Sa foi.
Et peut être le plus touchant, à côté de cette fragilité, le constat à 53 ans de sa solitude, de son désir d enfants et d'une femme pour le reste de sa vie alors qu'il est enfin stabilisé (plus d'alcool, de drogue ni de cigarette même si c'est un combat quotidien).
Cet homme riche, célèbre, beau, semblé revenu des enfers qui fait le constat qu'il a gâché les opportunités d'avoir un foyer ... et qui n'aspire qu'à cela et à aider les autres.
Un homme qui a compris son passé et qui sait que la maladie est tapie mais que sa vie ne tient qu'à un fil.
Un homme qui nous a quitté cette année, toujours célèbre, riche, aimé de ses proches mais sans avoir réalisé son rêve d'avoir ses enfants, sa femme, son foyer.
Les photos à la fin, alors que nous avons appris son décès il y a quelques mois, ainsi que ce dernier rêve donne une émotion particulière à cette lecture.
Qu'il repose en paix, il sait que Dieu l'attend.
Les addictions de ce petit garçon devenu homme avec le sentiment de ne jamais suffire pour avoir l attention et l amour des autres.
Les addictions de cet homme qui côtoie, adolescents, de futures stars de petits et grands écrans, qui est beau, et à qui la vie semble sourire mais dont les premiers cachets télé lui permettent de tomber dans l alcool, puis la drogue (seule limite l 'héroïne) et en toile de fond la clope.
Son parcours, ses amours, son respect pour les femmes et il en a eues, ses conneries aussi avec les femmes et il en a fait. Sa lutte contre lui même. Sa foi.
Et peut être le plus touchant, à côté de cette fragilité, le constat à 53 ans de sa solitude, de son désir d enfants et d'une femme pour le reste de sa vie alors qu'il est enfin stabilisé (plus d'alcool, de drogue ni de cigarette même si c'est un combat quotidien).
Cet homme riche, célèbre, beau, semblé revenu des enfers qui fait le constat qu'il a gâché les opportunités d'avoir un foyer ... et qui n'aspire qu'à cela et à aider les autres.
Un homme qui a compris son passé et qui sait que la maladie est tapie mais que sa vie ne tient qu'à un fil.
Un homme qui nous a quitté cette année, toujours célèbre, riche, aimé de ses proches mais sans avoir réalisé son rêve d'avoir ses enfants, sa femme, son foyer.
Les photos à la fin, alors que nous avons appris son décès il y a quelques mois, ainsi que ce dernier rêve donne une émotion particulière à cette lecture.
Qu'il repose en paix, il sait que Dieu l'attend.
