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Critique de Rita_Muller
Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité
Un roman qui cache bien son jeu !
Comment parler de ce livre sans rien dévoiler de ce rebondissement explosif ? Peut-être simplement en rappelant que David Petit-Laurent sait surprendre son lecteur, comme à son habitude, en évitant les attendus et les évidences.
La 4eme de couverture nous avait prévenus, une intrigue se cache derrière la vie parfaite de cette famille à qui tout semble réussir. On pourrait résumer ce livre par cette citation d'Emile Zola : "Quand on enferme la vérité sous terre, elle s'y amasse, elle y prend une force telle d'explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle." Et la dégringolade est à la mesure de cette vie rêvée et enviée.
Une vie exposée sous les projecteurs d'une communauté de village, des réseaux sociaux et des injonctions de la société. Une vie trop belle pour être vraie et que chacun s'empresse de juger. Car c'est aussi l'occasion d'un joli portrait sociétal qui vient interroger nos quêtes de gloire.
Une fois de plus, l'auteur nous déroute dans cette descente aux enfers qu'il parvient à conclure par une nouvelle pirouette dont il a le secret. Une belle illustration de ce que Ralph Waldo Emerson écrivait déjà en 1860 dans "The conduct of life" : "Il n'existe aucun secret qui ne puisse être découvert, on ne peut rien cacher dans le monde civilisé. Notre société est comme un bal masqué, chacun y cache sa véritable nature et la révèle par le choix de son masque."
A méditer sous le concept qui fera désormais référence "la vie est un élastique" ...
Comment parler de ce livre sans rien dévoiler de ce rebondissement explosif ? Peut-être simplement en rappelant que David Petit-Laurent sait surprendre son lecteur, comme à son habitude, en évitant les attendus et les évidences.
La 4eme de couverture nous avait prévenus, une intrigue se cache derrière la vie parfaite de cette famille à qui tout semble réussir. On pourrait résumer ce livre par cette citation d'Emile Zola : "Quand on enferme la vérité sous terre, elle s'y amasse, elle y prend une force telle d'explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle." Et la dégringolade est à la mesure de cette vie rêvée et enviée.
Une vie exposée sous les projecteurs d'une communauté de village, des réseaux sociaux et des injonctions de la société. Une vie trop belle pour être vraie et que chacun s'empresse de juger. Car c'est aussi l'occasion d'un joli portrait sociétal qui vient interroger nos quêtes de gloire.
Une fois de plus, l'auteur nous déroute dans cette descente aux enfers qu'il parvient à conclure par une nouvelle pirouette dont il a le secret. Une belle illustration de ce que Ralph Waldo Emerson écrivait déjà en 1860 dans "The conduct of life" : "Il n'existe aucun secret qui ne puisse être découvert, on ne peut rien cacher dans le monde civilisé. Notre société est comme un bal masqué, chacun y cache sa véritable nature et la révèle par le choix de son masque."
A méditer sous le concept qui fera désormais référence "la vie est un élastique" ...
