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Critique de claireo
Quel plaisir de recevoir ce livre lors de Masse critique, j'avais vraiment hâte de connaître la suite des aventures de cette famille de magiciens. Je l'ai lu en deux jours et je ne suis pas déçue : ce livre est même meilleur que le précédent. le premier tome avait planté le décor, présenté les personnages. Maintenant l'action peut se dérouler. D'ailleurs, elle commence dès le début du livre.
Les quatres membres de la famille Dolce, qui avaient fui la guilde noire par le puits des magiciens, se retrouvent séparés, ayant atteri dans des villes et à des périodes différentes. Leamedia se réveille seule à New-York, mais...seize mois plus tard, en novembre 2012. Antonius et Virginie émergent dans la Seine, à Paris, à la même époque. Melkaridion (le grand-père qui a fusionné avec son élément, l'eau) l'y formera à la magie. Mélidiane, la mère, est quand à elle à Londres dans les années 1960, et Rodolpherus, le père, au Japon en 1923.
Isolés et perturbés par leurs sauts dans le temps, ils se retrouveront grâce aux connaissances de Rodolpherus dont la mémoire recèle beaucoup plus de secrets qu'il ne pouvait le soupçonner. Pendant ce temps, la guilde noire étend son pouvoir sur le monde. Aidés de quelques amis, les magiciens affronteront à nouveau la guide des sorciers, mais la fin du tome les trouve en mauvaise posture.
On plonge très vite dans le livre et son histoire trépidante. L'écriture est très visuelle, presque cinematographique (on voit que l'auteur a écrit pour le cinéma). Les caractères ne sont pas très fouillés, mais l'intérêt est ailleurs, les évènements s'enchaînent sans fausse note, l'histoire est passionnante, en laissant quand même des zones d'ombre, des mystères qui seront, je l'espère, levés au troisième tome. Tout cela donne très envie de lire la suite.
Les quatres membres de la famille Dolce, qui avaient fui la guilde noire par le puits des magiciens, se retrouvent séparés, ayant atteri dans des villes et à des périodes différentes. Leamedia se réveille seule à New-York, mais...seize mois plus tard, en novembre 2012. Antonius et Virginie émergent dans la Seine, à Paris, à la même époque. Melkaridion (le grand-père qui a fusionné avec son élément, l'eau) l'y formera à la magie. Mélidiane, la mère, est quand à elle à Londres dans les années 1960, et Rodolpherus, le père, au Japon en 1923.
Isolés et perturbés par leurs sauts dans le temps, ils se retrouveront grâce aux connaissances de Rodolpherus dont la mémoire recèle beaucoup plus de secrets qu'il ne pouvait le soupçonner. Pendant ce temps, la guilde noire étend son pouvoir sur le monde. Aidés de quelques amis, les magiciens affronteront à nouveau la guide des sorciers, mais la fin du tome les trouve en mauvaise posture.
On plonge très vite dans le livre et son histoire trépidante. L'écriture est très visuelle, presque cinematographique (on voit que l'auteur a écrit pour le cinéma). Les caractères ne sont pas très fouillés, mais l'intérêt est ailleurs, les évènements s'enchaînent sans fausse note, l'histoire est passionnante, en laissant quand même des zones d'ombre, des mystères qui seront, je l'espère, levés au troisième tome. Tout cela donne très envie de lire la suite.
