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Critique de Caroetseslivres
Je tiens à remercier Stanislas Petrosky, pour sa dédicace, pour m'avoir éclairer sur certains points du livre.
Dès que j'ai eu ce livre en main, j'ai été aimantée par lui. Je regardais sa couverture, les illustrations en fin de livre, je le feuilleté et enfin je l'ai lu. Une fois qu'on commence ce livre, on ne plus le lâcher. Par une écriture crue, et par la présence de témoignages (romancés pour le récit) Stanislas Petrosky nous amène au coeur de ce camp, au coeur de l'horreur.
Gunther, enrôlé de force pour la construction du camp de Ravensbruck, devient par hasard l'illustrateur du camp. Il doit tout dessiner: les appels interminables, les kommandos, les meurtres de ses amis, les expériences écoeurantes du Dr Gebhardt.....Gunther prend son rôle très à coeur, non pas qu'il veut servir le régime mais il veut être un témoin afin de dire au monde ce qu'il s'est passé dans cet enfer. Gunther est un personnage attachant. C'est un être sensible, réaliste, courageux. Il ne se considère pas comme un héros et pourtant plusieurs fois il risque sa vie. Il risque sa vie pour protéger ses dessins, il risque sa vie en aidant certaines déportées... " Ravensbruck mon amour" c'est aussi l'histoire d'un amour impossible. L'histoire d'amour entre Gunther (allemand) et Edna (jeune juive déportée ). Edna est une bouffée d'oxygène pour Gunther, sa lueur d'espoir et malgré les interdits, les deux jeunes gens vont tout faire pour vivre leur amour.
Mais Edna, n'est pas la seule femme dans la vie de Gunther,il y a d'autres déportées comme Alyona, Hélène et Simone. Toutes ces femmes, seront une aide précieuse pour Gunther, mais elles causeront aussi en quelque sorte sa perte.
Stanislas Petrosky ne s'est pas contenté de décrire la vie de Gunther dans le camp, il nous parle aussi de l'après Ravensbruck, quand on revient à la vie et que les cauchemars nous hantent. C'est appréciable car on peut voir comment les différents protagonistes gèrent leurs douleurs, leurs retours à la vie...
Ce livre a été un véritable coup de coeur , une énorme claque. Quand, je l'ai fermé, j'ai eu envie de pleurer, il m'a hanté pendant plusieurs jours et m'a donné envie de découvrir encore plus de choses sur l'histoire de ces camps, afin de ne jamais oublier.
Dès que j'ai eu ce livre en main, j'ai été aimantée par lui. Je regardais sa couverture, les illustrations en fin de livre, je le feuilleté et enfin je l'ai lu. Une fois qu'on commence ce livre, on ne plus le lâcher. Par une écriture crue, et par la présence de témoignages (romancés pour le récit) Stanislas Petrosky nous amène au coeur de ce camp, au coeur de l'horreur.
Gunther, enrôlé de force pour la construction du camp de Ravensbruck, devient par hasard l'illustrateur du camp. Il doit tout dessiner: les appels interminables, les kommandos, les meurtres de ses amis, les expériences écoeurantes du Dr Gebhardt.....Gunther prend son rôle très à coeur, non pas qu'il veut servir le régime mais il veut être un témoin afin de dire au monde ce qu'il s'est passé dans cet enfer. Gunther est un personnage attachant. C'est un être sensible, réaliste, courageux. Il ne se considère pas comme un héros et pourtant plusieurs fois il risque sa vie. Il risque sa vie pour protéger ses dessins, il risque sa vie en aidant certaines déportées... " Ravensbruck mon amour" c'est aussi l'histoire d'un amour impossible. L'histoire d'amour entre Gunther (allemand) et Edna (jeune juive déportée ). Edna est une bouffée d'oxygène pour Gunther, sa lueur d'espoir et malgré les interdits, les deux jeunes gens vont tout faire pour vivre leur amour.
Mais Edna, n'est pas la seule femme dans la vie de Gunther,il y a d'autres déportées comme Alyona, Hélène et Simone. Toutes ces femmes, seront une aide précieuse pour Gunther, mais elles causeront aussi en quelque sorte sa perte.
Stanislas Petrosky ne s'est pas contenté de décrire la vie de Gunther dans le camp, il nous parle aussi de l'après Ravensbruck, quand on revient à la vie et que les cauchemars nous hantent. C'est appréciable car on peut voir comment les différents protagonistes gèrent leurs douleurs, leurs retours à la vie...
Ce livre a été un véritable coup de coeur , une énorme claque. Quand, je l'ai fermé, j'ai eu envie de pleurer, il m'a hanté pendant plusieurs jours et m'a donné envie de découvrir encore plus de choses sur l'histoire de ces camps, afin de ne jamais oublier.
