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Critique de irwingeltime
Cette semaine, je suis plongé dans les univers moyenâgeux : après "L'assassin Royal", je viens d'achever le premier tome du "Haut-Royaume", et suis en train de lire "Tristan et Iseult". Mais trêve de bavardages, passons au vif au sujet.
Eh bien, je vais le dire : ce premier tome du Haut-Royaume fut pour moi un véritable coup de coeur. Tout d'abord, en parvenant à me captiver par un univers, certes pas tant fourni en créatures fantastiques, ni en magie, mais cela instaurait un certain changement: l'auteur avait préféré accaparer son attention sur des aventures palpitantes, des faux-semblants, la psychologie des personnages... et sans omettre la loyauté et l'honneur dont nombreux d'entre eux étaient dotés. L'atmosphère moyenâgeuse contribuait tout à fait à l'obscurité dont on était voilé ce livre... que le dénouement n'a fait que renforcé.
Un style d'écriture très fluide, sans être trop simple ; la taille des chapitres a également contribué à la fluidité de ce livre.
Quant aux personnages, si certains étaient clairement purs ou mauvais, d'autres ne semblaient ne pas appartenir à un vrai camp ; d'ailleurs, il ne semblait il n'y avoir ni bien ni mal dans cet ouvrage...
Inutile de préciser que j'ai eu une affection profonde pour Yssaris, le chat roux de Lorn, présent pour l'apaiser, parfois de L'Obscure, et dont je pense la présence a contribué à un véritable secours pour son maître.
Par ailleurs, ce dernier n'a pas encore définitivement choisi de parti, même si c'est ce que l'on pourrait sembler croire à la fin du roman : son personnage reste encore entouré de mystères, et de doutes...
En conclusion, ce fut vraiment une TRES agréable lecture que "Le Chevalier", que j'ai lu en deux jours, et que j'espère le tome 2 gardera intact tout le plaisir que j'ai ressenti.
Eh bien, je vais le dire : ce premier tome du Haut-Royaume fut pour moi un véritable coup de coeur. Tout d'abord, en parvenant à me captiver par un univers, certes pas tant fourni en créatures fantastiques, ni en magie, mais cela instaurait un certain changement: l'auteur avait préféré accaparer son attention sur des aventures palpitantes, des faux-semblants, la psychologie des personnages... et sans omettre la loyauté et l'honneur dont nombreux d'entre eux étaient dotés. L'atmosphère moyenâgeuse contribuait tout à fait à l'obscurité dont on était voilé ce livre... que le dénouement n'a fait que renforcé.
Un style d'écriture très fluide, sans être trop simple ; la taille des chapitres a également contribué à la fluidité de ce livre.
Quant aux personnages, si certains étaient clairement purs ou mauvais, d'autres ne semblaient ne pas appartenir à un vrai camp ; d'ailleurs, il ne semblait il n'y avoir ni bien ni mal dans cet ouvrage...
Inutile de préciser que j'ai eu une affection profonde pour Yssaris, le chat roux de Lorn, présent pour l'apaiser, parfois de L'Obscure, et dont je pense la présence a contribué à un véritable secours pour son maître.
Par ailleurs, ce dernier n'a pas encore définitivement choisi de parti, même si c'est ce que l'on pourrait sembler croire à la fin du roman : son personnage reste encore entouré de mystères, et de doutes...
En conclusion, ce fut vraiment une TRES agréable lecture que "Le Chevalier", que j'ai lu en deux jours, et que j'espère le tome 2 gardera intact tout le plaisir que j'ai ressenti.
