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Critique de Floccus
L'association incertaine du musée du Louvre et des mines de charbon de Lens fonctionne plutôt bien. On devine le travail de commande, mais ça n'enlève pas le charme qui se dégage du dialogue engagé.
Le jeune homme est tendre, d'une naïveté fraîche. le cheval a de la grâce dans ses mouvements déliés. Les tons sont doux, le crayonné donne une tonalité délicate. Les points d'accroches entre les oeuvres d'art et les mineurs ont été définis avec intelligence et originalité, on n'a pas le sentiment d'une artificialité plaquée pour forcer la réalisation du projet.
Quand on tombe sur le cahier photographique, à la fin de l'album, on se découvre un regard nouveau sur les statues et objets. Ils sont devenus familiers à travers le récit et j'ai ressenti un réel plaisir à passer du dessin au concret. Les auteurs leur ont offert une seconde vie.
Le jeune homme est tendre, d'une naïveté fraîche. le cheval a de la grâce dans ses mouvements déliés. Les tons sont doux, le crayonné donne une tonalité délicate. Les points d'accroches entre les oeuvres d'art et les mineurs ont été définis avec intelligence et originalité, on n'a pas le sentiment d'une artificialité plaquée pour forcer la réalisation du projet.
Quand on tombe sur le cahier photographique, à la fin de l'album, on se découvre un regard nouveau sur les statues et objets. Ils sont devenus familiers à travers le récit et j'ai ressenti un réel plaisir à passer du dessin au concret. Les auteurs leur ont offert une seconde vie.
