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Critique de _minot_
Pour fêter leurs trente ans de mariage, Herbert et Isis ont décidé de s'offrir une semaine de détente et de croisière à travers plusieurs îles paradisiaques de Terra Amata. Mais quelques heures seulement après avoir embarqué, les voilà assaillis d'une nuée de flèches incendiaires tirées par des individus qu'ils ne parviennent pas à identifier. Qui sont ces mystérieux assaillants ? Et pourquoi s'en prennent-ils à eux ? Nos héros vont devoir une fois de sauver leurs peaux pour tenter de résoudre ce mystère …
Sfar et Trondheim nous offrent avec « Noces de fleurs » un chouette « Donjon Monsters » qui fait honneur à la série. On retrouve dans cet épisode ce qui fait l'ADN des « Donjon » : action épique improbable, personnages loufoques, bagarres bien bourrines, révélations en tout genre (l'album étant relié à une multitude d'autres titres, principalement ceux publiés depuis 2020 et la reprise de la série) et humour décalé. La lecture est un vrai bonheur, malgré deux ou trois maladresses scénaristiques finalement sans conséquence (la résolution de l'intrigue un peu trop vite expédiée et l'apparition de Marvin pour sauver Herbert qui arrive un peu comme un cheveu sur la soupe) et bien secondaires. le dessin naïf et amusant d'Aude Picault convient parfaitement à « Donjon », étant parfaitement dans l'esprit graphique minimaliste de la série, tout en ayant sa propre identité.
Sfar et Trondheim nous offrent avec « Noces de fleurs » un chouette « Donjon Monsters » qui fait honneur à la série. On retrouve dans cet épisode ce qui fait l'ADN des « Donjon » : action épique improbable, personnages loufoques, bagarres bien bourrines, révélations en tout genre (l'album étant relié à une multitude d'autres titres, principalement ceux publiés depuis 2020 et la reprise de la série) et humour décalé. La lecture est un vrai bonheur, malgré deux ou trois maladresses scénaristiques finalement sans conséquence (la résolution de l'intrigue un peu trop vite expédiée et l'apparition de Marvin pour sauver Herbert qui arrive un peu comme un cheveu sur la soupe) et bien secondaires. le dessin naïf et amusant d'Aude Picault convient parfaitement à « Donjon », étant parfaitement dans l'esprit graphique minimaliste de la série, tout en ayant sa propre identité.
