Isabelle et Théa sont amies comme on peut l'être à quatorze ans, à la vie et à la mort, petites vacheries comprises. Isabelle, dont le père n'a pas eu un comportement irréprochable (concussion), est sur le point de rentrer en Europe, tout en ignorant pourquoi. Elle repousse pendant tout le livre l'annonce de son départ. Tout le monde sait sauf Théa.
Théa, elle, se fait du souci pour sa jolie maman qui part tous les matins faire de l'équitation en cachette de son mari. Et ? Et pas grand-chose, la suite de l'histoire racontée par Théa est confuse, histoire d'ailleurs mieux comprise par ses camarades de classe que par elle-même. Ça n'a rien d'impossible, mais je ne suis pas arrivée à m'intéresser aux parents de Théa non plus, pas plus qu'à son frère ou à ses amours avec Jean-Baptiste.
J'ai peiné à m'intéresser à ce roman superficiel et pas très bien rédigé. Mais il se déroule en Nouvelle-Calédonie, et nous entraine place des Cocotiers, à la baie des Citrons ou dans le quartier d'Anse Vata.
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Je me suis profondément ennuyé dans ce roman des amours de beaux, jeunes gens privilégiés de l'époque (bénie?) des colonies. J'ai lu ce livre parce que j'admirais la magnifique actrice, mais le charme de l'écriture pourtant puissante n'a pas fonctionné, "Tempus fugit", une épaisse couche de fine poussière à recouvert ce temps des colonies, et ces histoires d'adolescents d'une autre époque, m'ont paru d'une mièvrerie consternante. Impossible de se retrouver dans cette histoire d'une infinie platitude malgré le charme de la nouvelle Calédonie...et les descriptions exotiquesce ce monde a jamais disparu.
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