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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un prix du livre romantique sur un fond historique qui se lit plutôt bien, une lecture agréable mais je ne sais pas si je lirais les autres tomes, il manque un peu de passion, peut-être sera t elle présente dans la suite de la saga... Malgré tout un bon moment de lecture.


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Lecture audio
Je ne comprends pas trop le titre par rapport à l'histoire. J'ai bien aimé l'histoire même si elle est courte, je pense que c'est un tome introductif pour la saga. Je pense lire enfin écouter la suite. J'ai eu l'impression de retrouver Downton Abbey en plus niais.
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Ce livre est le premier d'une trilogie. J'avais acheté le tome 2 sans avoir lu le premier alors j'ai décidé d'écouté ce premier volet en audio.

J'avais lu que ce livre s'inscrivait dans la veine de la génialissime série Downton Abbey de Julian Fellowes, je suis au regret de constater que cette dernière ne souffre pas de comparaison.

J'ai écouté cette histoire sans vraiment réussir à m'y imprégner. Je n'ai pas été séduite ni par l'interprétation de la narratrice ni par l'histoire.

En effet, j'ai trouvé l'écriture assez (trop) simple et notamment les dialogues, ce qui m'a un peu dérangée, en particulier pour un livre dont l'époque se situe à l'avant-guerre, au début du XXe siècle. Les anecdotes historiques sont peu détaillées, ce qui laissent une impression de superficialité au récit. J'aurais apprécié me sentir totalement immergé dans une époque que j'apprécie, entre les obligations de l'aristocratie et son féminisme latent (mouvement des suffragettes initiés quelques années plus tôt), les devoirs des domestiques, les complots, les trahisons et les amours contrariées mais je n'y ai malheureusement pas trouvé mon compte.

Peut-être le second volet « les cendres sous les coquelicots » m'emportera-t-il davantage ?
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Chère Lady Julia Ashfort, j'espère que vous vous souvenez de moi, je suis venue au sein de votre somptueux domaine de Longfield Park. Je vous ai trouvé une mine terriblement triste, avec un regard éteint, nous sommes allé toutes les deux prendre le thé et laissez-moi vous dire que votre belle-soeur est un personnage très désagréable. Votre mari n'est pas revenu des champs de bataille, il a malheureusement péri et vous vous retrouvez seule, sans lui. Évidemment la vie est faite de surprise et, elle vous en a fait un, un cadeau surprise est niché dans votre ventre. Mais ma chère, je sais que ce n'est pas évident, je vous ai dit à quel point j'aimais mon fils et je suis certaine qu'il en sera de même pour vous. Cependant, je vous rappelle le but de ma visite... Je suis en contact avec Will Murphy depuis longtemps, je sais que vous n'avez pas très envie d'en parler mais il est nécessaire de lui venir en aide... J'attends de vos nouvelles à ce sujet et je m'en excuse de paraître si insistante... Je vous ai bien aimé Julia, même si j'aurais voulu passer plus de temps avec vous, j'ai trouvé notre rencontre trop rapide à mon goût, je n'ai pas pu m'attacher à vous, je sais c'est déplacer de vous le dire ainsi mais c'est la vérité. Je ne doute absolument pas de votre gentillesse et je peux vous affirmer que je reviendrais vous voir car, je suis curieuse de la suite des événements. J'ai également envie de mieux vous connaître. J'ai tout de même passé un agréable moment avec vous, trop court mais agréable. Alors je vous dis à bientôt. Bien à vous, DouceurPlume.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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On reste dans le thème de l'amour cette semaine, puisque je vais vous parler de "Le rêve de Nos Mères" de Carine Pittochi, grand gagnant du prix du livre romantique 2022 organisé par les @editionscharleston !

Comme vous pouvez le constater je m'étais déjà procurer la saga en entier avant même d'avoir fini le premier tome. L'influence de @marielivresque & @lilysreading y sont pour beaucoup !

Ce livre me sort totalement de ma zone de confort (sanglante, macabre et féministe) pour me porter à Londres au début du XXe siècle au sein de la bourgeoisie et l'aristocratie anglaise (livres que j'évite comme la peste en temps normal car les étoffes, les manières et les châteaux ne m'ont jamais vraiment attirés ! Sauf si ces derniers sont hantés 👻 - on ne change pas une équipe qui gagne 😂)

Et malgré le fait que ce livre ne corresponde pas du tout à ce que j'ai l'habitude de lire, j'ai beaucoup apprécié ma lecture. J'ai trouvé la plume de Carine Pittochi très agréable et addictive. le seul reproche que je peux faire c'est peut être le côté trop manichéen des personnages. Aussi, j'ai une préférence pour les femmes fortes et indépendantes alors j'étais un peu déçue concernant certains choix scénaristiques à la fin du livre 😓 mais c'est le gagnant du prix du livre romantique alors fallait s'y attendre 🙈

En tout cas j'ai très hâte de me plonger dans la suite de cette saga! Selon les copines, le côté historique y est beaucoup plus développé (il suffit de voir la différence de taille entre le premier et les deux derniers tomes 🙈) ce qui promet de bons moments de lecture !

Ma note : 3,5🌟
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1er tome d'une saga historique durant la première guerre mondiale, le pari est réussi car ce n'est pas seule et d'autres sont de qualité. L'autrice a su dès les premières lignes me capter dans les péripéties de ces héroïnes qui ont la part belle et qui au travers des mots sont louées pour leur conviction, leur courage, leur combativité et leur conviction absolue que l'amour emporte tout.
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Même si je n'aime pas particulièrement les romances, j'aime par contre beaucoup l'histoire, et il m'arrive d'apprécier des romances dites historiques. Bon, le fait que cet opus ait remporté le prix du livre romantique (sic) aurait dû me mettre la puce à l'oreille, soit que je n'allais pas particulièrement l'apprécier.

Cependant, ce ne fut pas non plus un pensum (il est très court) et je ne l'ai pas trouvé particulièrement niais ou illisible. Je l'ai humblement trouvé trop simple, voire simpliste, notamment dans la description des personnages auxquels je ne me suis pas attaché. C'est beaucoup trop manichéen, les gentils sont très très gentils, les méchants très très méchants, et on devine aisément que sous ses abords de mauvais garçon, l'un des personnage a un coeur d'or. C'est cousu de fil blanc, on le sait, on le sent. Cest la même chose concernant les dialogues, qui sonnent faux, téléphonés, creux. Ce qui rend l'ensemble plat, sans relief, sans profondeur malgré de grandes ambitions.
Pourtant, même si je ne précipiterais pas dessus, je pourrais lire le deuxième livre de cette saga qui se laisse lire pour autant. Il parait qu'il est davantage fouillé, je ne demande que cela.

En bref, un roman dispensable, qui reste en surface, certes, mais qui n'est pas désagréable à lire. Une ambiance à mi-chemin entre Downton Abbey et Peaky Blinders qui, si elle se densifie, pourrait devenir très intéressante.
La note que j'ai mis à ce roman parle d'elle-même: pas mauvais, mais pas extra non plus. A voir si le deuxième opus sera de meilleure qualité selon mes critères.
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Que les nostalgiques de Downton Abbey sèchent leurs larmes, la relève est assurée ! Étonnamment, elle vient de France, grâce à Carine Pitocchi et ses « rêves de nos mères », le premier tome d'une saga historique et romantique qui reprend tous les codes de la série romantique.

En ce mois de juin 1912, cela ne va pas du tout pour Lady Julia Ashford. Elle n'arrive pas à se remettre de la mort de son mari Charles, survenue quelques mois plus tôt, la laissant seule à la tête d'un domaine immense, Longfield Park. le quotidien est morose, entourée de son jeune beau-frère Edward et de sa belle-soeur Lady Catherine, une peau de vache deux fois veuve que rien ne peut égayer, à l'exception des nombreuses méchancetés qu'elle envoie à tout le monde (sauf à James, le jeune frère de Julia, tiens donc). Heureusement que sa cousine Lady Emily Allen est là pour la distraire, elle l'aristocrate excentrique suffragette, qui a décidé de ne pas se marier pour mener à bien sa lutte féministe… Quand un beau jour, Edna, une ancienne domestique, vient lui demander de l'aide pour sauver son bon ami Will Murphy, menacé de la potence pour un crime qu'il n'a pas commis. Will Murphy n'est pas un inconnu pour Lady Julia, puisqu'il est le fils du métayer du domaine où elle a grandi, et qui est le responsable de ses premiers émois amoureux. Des sentiments qui sont réellement si anciens que ça ?

Carine Pitocchi ne s'est pas assuré la facilité avec une telle intrigue, assez mince et convenue. Même si j'ai omis de nombreux détails, celle-ci passe ou casse : avec ça, soit on rédige un navet dégoulinant, soit on réussit un roman qui peut avoir un sacré souffle, historique comme romantique, à condition d'avoir des personnages qui tiennent la route, puisque c'est eux qui tiennent la baraque. Sachant que je ne suis pas une fanatique des romans romantiques, et que pour moi les défauts ne sont pas absents de cet ouvrage, je dois reconnaître que j'ai passé un plutôt bon moment, grâce au personnage de Lady Emily Allen, qui n'est certes pas le personnage principal, mais qui a un sacré panache. Féministe de la première heure, dotée d'une vive intelligence et d'un sacré caractère, elle assume ses convictions audacieuses, elle est forte et indépendante, à l'image de ce nouveau siècle qui commence. le reste du casting souffre d'un défaut principal qui sera aussi celui de l'ouvrage : un certain manque de nuances. Lady Julia, l'héroïne du roman, manque un peu de relief, elle souffre, elle est gentille tout en sachant ne pas se faire marcher sur les pieds, mais elle est girouette ; Lady Catherine est une méchante frustrée, Edna est transparente ; Will est un malfrat, mais possède quand même un petit coeur qui bat sous sa cuirasse pour sa Julia, qu'il n'a jamais oubliée. le tout dans un contexte historique assez complexe, puisque la Première Guerre mondiale se profile. Et surtout réglé en un peu moins de 250 pages alors l'autrice aurait facilement pu, ou dû, en rédiger 100 de plus. Cela n'aurait pas été inutile pour éviter cette impression de rapidité un peu superficielle : Julia commence le roman en souffrant de la mort de son mari, dont elle pense ne jamais se remettre. Or, une centaine de pages plus loin, en revoyant une photo de Will, elle se rend compte qu'elle l'aime toujours, pour s'avouer finalement que c'est l'homme de sa vie une cinquantaine de pages après et que le destin le remette sur son chemin. Qui change d'avis comme cela dans la vraie vie ?
Quelques schémas dignes de la (moins bonne) littérature romantique sont également dispersés dans le roman : les héroïnes sont jeunes et belles, courent après les hommes de leurs vies au point de s'en dénouer les cheveux, motif déjà très très vu ni très moderne (et surtout ridicule, d'autant plus que c'est un manque de cohérence totale avec l'émancipation féminine sur laquelle l'autrice semble vouloir insister). Ces imperfections sont pardonnées parce que c'est un premier tome qui pose les bases de l'intrigue. Tout repose maintenant sur la suite, qui a intérêt à remplir les promesses qui ont été suggérées ici. A suivre !
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Apprécié, mais sans plus… J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, je trouvais trop de similitudes avec Downton Abbey (certaines personnages, leur caractère,…) et cela a un peu gâché mon plaisir.
Rien de bien neuf dans l'histoire, c'est du déjà vu. Et c'est plutôt très fade et plat.
Si l'occasion se présente, je tenterai malgré tout le second tome de la saga.
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Ce roman, prix du livre romantique en 2020, se déroule en Angleterre au début du XXème siècle, juste avant le début de la Grande Guerre.
Je ne suis pas une habituée de ce type d'histoire mais j'apprécie le contexte qui précède la première guerre, le début de l'émancipation des femmes, et j'étais curieuse de découvrir mon premier roman Charleston.
Malheureusement, j'ai été déçue par cette lecture, que j'ai trouvé trop lisse et superficielle autant dans son intrigue que dans ses (nombreux) personnages. Ceux-ci sont assez caricaturaux : lady Julia, jeune veuve et mère vivant dans un immense domaine avec toute une domesticité, (on pense à Downton Abbey) amoureuse de son ami d'enfance un gangster irlandais (rappelant l'univers de Peaky Blinders). La plupart des personnages ne sont pas nuancés, et se séparent en deux groupes : les gentils et les méchants, les grands bouleversements de l'époque sont évoqués mais pas creusés. Un peu plus intéressante est Emily, Lady Allen, dont le comportement détonne, qui n'a pas peur de choquer et qui est en avance sur son temps mais rien de très surprenant néanmoins.
Par ailleurs, le livre est très court et ce type d'histoire aurait largement mérité le double de pages afin de détailler un peu plus l'histoire et les protagonistes.
Je ne lirai probablement pas la suite car même si la plume de l'autrice est fluide et que la lecture n'a pas été désagréable, je n'ai pas été suffisamment intéressée par ce premier tome pour poursuivre cette saga.
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