Nouvelle publiée en 1845,traduite par
Baudelaire en 1855.Cette très célèbre fable à grand spectacle ,on la retrouve sous des formes diverses dans un grand nombre d'oeuvres , en particulier de fantasy. Cette élite d'un pays qui se calfeutre et s'adonne à une fête orgiaque pendant que la population meurt d'une épidémie foudroyante reçoit un écho sinistre dans les avatars de notre époque (épidémies, calamités, obsession de l'enfermement contre la marée des réfugiés, fête indécente des ultra riches …) . Elle est aussi le reflet du profond pessimisme de
Poe.
Commenter  J’apprécie         100