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Critique de Marti94
C'est parce que les nouvelles d'Edgar Allan Poe sont tombées dans le domaine public qu'on peut les trouver gratuitement en version numérique. J'en ai donc un certain nombre téléchargé sur ma liseuse d'autant plus que les traductions sont de Charles Baudelaire.
Celle qui est intitulée "Le système du docteur Goudron et du professeur Plume" est classée en littérature jeunesse alors je me suis dit qu'il devait y avoir une certaine dose d'humour.
Il est vrai que la bizarrerie est de mise dans ce château lugubre qui sert d'hôpital psychiatrique aux méthodes très peu conventionnelles.
Cela m'a fait penser à une vieille blague de Toto qui tient une brosse à dents en laisse. Il croise un fou qui lui demande comment va son chien et il lui répond que ce n'est pas un chien mais une brosse à dents. Mais quand il s'éloigne Toto se retourne pour dire -On l'a bien eu Médor !
Cette visite est donc une histoire de fous qui apprend au narrateur que le fameux système de douceur utilisé jusqu'à là dans cette institution a été remplacé par une méthode d'une rigoureuse sévérité. C'est dommage car j'aimais bien cette méthode qui consiste à laisser les pensionnaires libres. A l'époque ça devait être innovant contrairement aux propos un tant soit peu misogynes du genre "Les dames selon leur habitude parlent beaucoup" ou "Toutes les vieilles femmes, toutes les très vieilles femmes sont plus ou moins excentriques."
Bref, on s'imagine très rapidement ce qu'il s'est passé quand le narrateur se retrouve avec Monsieur Maillard le directeur et un grand nombre d'invités plus farfelus les uns que les autres autour d'un banquet avec des bouteilles de Sauterne de Clos Vougeot. Il faut dire que cela se passe en France et que "Le système du docteur Goudron et du professeur Plume" est passé par là. Pas vraiment recommandable pour la jeunesse à mon goût.
Challenge Riquiqui 2024
Challenge Multi-défis 2024
Challenge XIXème siècle illimité
Celle qui est intitulée "Le système du docteur Goudron et du professeur Plume" est classée en littérature jeunesse alors je me suis dit qu'il devait y avoir une certaine dose d'humour.
Il est vrai que la bizarrerie est de mise dans ce château lugubre qui sert d'hôpital psychiatrique aux méthodes très peu conventionnelles.
Cela m'a fait penser à une vieille blague de Toto qui tient une brosse à dents en laisse. Il croise un fou qui lui demande comment va son chien et il lui répond que ce n'est pas un chien mais une brosse à dents. Mais quand il s'éloigne Toto se retourne pour dire -On l'a bien eu Médor !
Cette visite est donc une histoire de fous qui apprend au narrateur que le fameux système de douceur utilisé jusqu'à là dans cette institution a été remplacé par une méthode d'une rigoureuse sévérité. C'est dommage car j'aimais bien cette méthode qui consiste à laisser les pensionnaires libres. A l'époque ça devait être innovant contrairement aux propos un tant soit peu misogynes du genre "Les dames selon leur habitude parlent beaucoup" ou "Toutes les vieilles femmes, toutes les très vieilles femmes sont plus ou moins excentriques."
Bref, on s'imagine très rapidement ce qu'il s'est passé quand le narrateur se retrouve avec Monsieur Maillard le directeur et un grand nombre d'invités plus farfelus les uns que les autres autour d'un banquet avec des bouteilles de Sauterne de Clos Vougeot. Il faut dire que cela se passe en France et que "Le système du docteur Goudron et du professeur Plume" est passé par là. Pas vraiment recommandable pour la jeunesse à mon goût.
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