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Critique de maina3500
Une comédie d'été qui me fait un peu penser à Bridget Jones (l'excellent livre bien sûr! Pas le film fade que j'ai trouvé décevant d'un bout à l'autre!). le personnage principale se compare même à la célèbre anglaise. Tout commence par un travail ennuyeux de fille parfaite qui ne dit jamais un mot plus haut que l'autre. Mais à l'intérieur, Juliette boue d'indignation! Elle s'est toujours conformée à l'image que sa mère voulait qu'elle soit et un jour une réplique de trop de la part d'une ancienne collègue promue superviseure la pousse à démissionner. Une nouvelle vie s'annonce pour Juliette avec des conséquences qu'elle n'a pas prévues.
Que serait ce roman sans la meilleure amie de Juliette, Nina ?
Juliette n'est pas une fille sans histoire, elle a une histoire et elle la raconte à merveille avec humour et dérision. Par contre le ton reste léger. Un roman de vacance quoi. Juliette a tendance à se victimiser, ce qui a fini par m'agacer royalement. Elle se nomme elle-même "le petite Juliette" ou "la pauvre petite Juliette"! Non vraiment, ça ne passait pas. Après le coup foireux au début, ne désespérez pas, le roman va en s'améliorant au même titre que Juliette.
Mais nul besoin d'être irresponsable pour prouver qu'on a de la personnalité. Bref parfois la pensée de l'héroïne était un peu ridicule et j'étais loin d'adhérer à sa façon bizarre de s'affirmer...
Comme si être coloré allait de pair avec "grossièreté et mœurs légère"?
Naaa!
Reste que le tout se lit sans effort (heureusement! il n'y a que 200 pages!) et que je n'aurai pas de mal à le suggérer pour ceux qui ne veulent pas se casser la tête (ou le cœur) avec un drame.
Une chose qui n'est pas mentionnée sur le quatrième de couverture m'a personnellement déçu : on y parle beaucoup de maternité\grossesse. C'est même LE sujet principale, bien avant la crise d'affirmation de Juliette. J'aurais aimé être prévenu sur ladite couverture!
Que serait ce roman sans la meilleure amie de Juliette, Nina ?
Juliette n'est pas une fille sans histoire, elle a une histoire et elle la raconte à merveille avec humour et dérision. Par contre le ton reste léger. Un roman de vacance quoi. Juliette a tendance à se victimiser, ce qui a fini par m'agacer royalement. Elle se nomme elle-même "le petite Juliette" ou "la pauvre petite Juliette"! Non vraiment, ça ne passait pas. Après le coup foireux au début, ne désespérez pas, le roman va en s'améliorant au même titre que Juliette.
Mais nul besoin d'être irresponsable pour prouver qu'on a de la personnalité. Bref parfois la pensée de l'héroïne était un peu ridicule et j'étais loin d'adhérer à sa façon bizarre de s'affirmer...
Comme si être coloré allait de pair avec "grossièreté et mœurs légère"?
Naaa!
Reste que le tout se lit sans effort (heureusement! il n'y a que 200 pages!) et que je n'aurai pas de mal à le suggérer pour ceux qui ne veulent pas se casser la tête (ou le cœur) avec un drame.
Une chose qui n'est pas mentionnée sur le quatrième de couverture m'a personnellement déçu : on y parle beaucoup de maternité\grossesse. C'est même LE sujet principale, bien avant la crise d'affirmation de Juliette. J'aurais aimé être prévenu sur ladite couverture!
