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Critique de LaMinuteMAD
En 1999 le duo Preston & Child écrivait cette aventure de Nora Kelly, personnage qu'on retrouve parfois dans les enquêtes de Pendergast. Je vous ai parlé il y a peu de Tombes oubliées qui entamait une nouvelle série de ces auteurs ; il se trouve que Les Sortilèges de la Cité perdue, un one shot à l'époque, devient donc le 1er opus de cette nouvelle série d'enquêtes archéologiques.
Nous sommes fin des années 90 et Nora Kelly est encore une toute jeune archéologue. Alors que, suite à l'alerte donnée par une voisine, elle inspecte le ranch abandonné de ses parents, Nora se trouve confrontée à des intrus particuliers : elle ne sait pas si elle a à faire à des humains ou à de grands chiens, toujours est-il qu'ils l'attaquent et qu'elle s'enfuit en voiture, rentre dans la boîte à lettres dans la panique et découvre une vieille lettre, postée il y a peu, mais écrite 12 ans auparavant, par son père disparu dans une expédition à la recherche d'un cité d'or anasazi. Dans cette lettre est indiqué le chemin pour accéder à cette cité perdue. Nora a 2 bonnes raisons de vouloir parvenir à cet endroit : son métier et la possibilité de retrouver son père, ou du moins son corps. Grâce à sa détermination, elle réussi à convaincre l'Institut où elle travaille de constituer une équipe pour découvrir Quivira, la cité perdue anasazi.
Mais le parcours est semé d'embûches et l'équipe semble suivie par les individus qui ont attaqué Nora au ranch.
Un thriller archéologique, à nouveau, sans FBI, rien que des archéologues, un médecin et un cow boy (ou plutôt un horse boy).
On y retrouve la folie de l'or, les grands espaces américains (on s'y croirait), l'aventure archéologique et le dilemme entre respect et savoir : que faut-il faire quand on trouve une sépulture, la laisser telle quelle ou bien l'étudier quitte à l'abîmer ?
J'ai beaucoup aimé voyager avec Nora dans les canyons, les plaines verdoyantes et les grottes ; et j'ai vraiment apprécié aussi tout ce qu'on peut apprendre dans ce genre de roman, sur les peuples amérindiens par exemple.
Nous sommes fin des années 90 et Nora Kelly est encore une toute jeune archéologue. Alors que, suite à l'alerte donnée par une voisine, elle inspecte le ranch abandonné de ses parents, Nora se trouve confrontée à des intrus particuliers : elle ne sait pas si elle a à faire à des humains ou à de grands chiens, toujours est-il qu'ils l'attaquent et qu'elle s'enfuit en voiture, rentre dans la boîte à lettres dans la panique et découvre une vieille lettre, postée il y a peu, mais écrite 12 ans auparavant, par son père disparu dans une expédition à la recherche d'un cité d'or anasazi. Dans cette lettre est indiqué le chemin pour accéder à cette cité perdue. Nora a 2 bonnes raisons de vouloir parvenir à cet endroit : son métier et la possibilité de retrouver son père, ou du moins son corps. Grâce à sa détermination, elle réussi à convaincre l'Institut où elle travaille de constituer une équipe pour découvrir Quivira, la cité perdue anasazi.
Mais le parcours est semé d'embûches et l'équipe semble suivie par les individus qui ont attaqué Nora au ranch.
Un thriller archéologique, à nouveau, sans FBI, rien que des archéologues, un médecin et un cow boy (ou plutôt un horse boy).
On y retrouve la folie de l'or, les grands espaces américains (on s'y croirait), l'aventure archéologique et le dilemme entre respect et savoir : que faut-il faire quand on trouve une sépulture, la laisser telle quelle ou bien l'étudier quitte à l'abîmer ?
J'ai beaucoup aimé voyager avec Nora dans les canyons, les plaines verdoyantes et les grottes ; et j'ai vraiment apprécié aussi tout ce qu'on peut apprendre dans ce genre de roman, sur les peuples amérindiens par exemple.
