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Critique de oblo


Helward Mann a atteint l'âge de mille kilomètres : il s'apprête à entrer dans la guilde des Topographes du Futur mais il ne connait rien du monde extérieur. La cité dans laquelle vit Mann a une particularité : elle se déplace sur des rails, à raison d'un kilomètre tous les 10 jours, en direction de l'optimum, objectif constant. Mann découvre bientôt le monde : les Navigateurs qui construisent les rails, les tooks - des sauvages parlant espagnol - qui font les travaux et se révoltent souvent, le passé aussi puisque le temps se déroule, tel un tapis roulant, et que les distances ainsi que l'appréciation subjectif du temps se distordent.
Ainsi apparaissent des visions étranges d'êtres déformés et d'une vraie course-poursuite contre le temps et pour la vie de la cité. le roman pose la question de la perception de la réalité d'une manière redoutablement onirique. Les doutes subsisteront pour tous, personnages comme lecteurs.
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