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Critique de Senna
Je souhaitais lire un roman sur le thème des sorcières et le titre m'a induit en erreur. « Les soeurs de la nuit » est une référence aux infirmières qui travaillent la nuit. La défunte et regrettée collection Pocket terreur est une mine de bons livres, même si parfois elle me joue un sacré tour. Avec sa ramure toute de noire, elle invite au frisson, c'est presque de l'érotisme. Ce qui la travestie, ce sont ces premières lignes reprisent sur sa devanture, un sacrilège. Par ailleurs, je la préfère à sa rivale plus âgée « J'ai lu épouvante ». Pour John Pritchard ce sera une première. Je découvre sur sa fiche nooSFere, que « Les soeurs de la nuit » est le premier d'une trilogie (Rachel Young), mais ça je ne le sus qu'aux dernières pages de ma lecture, au moment où je pose ces quelques notes. D'après mes autres recherches, il n'aurait écrit que quatre romans.
Je ressors mitigé de cette lecture. le livre à pourtant de sacrés atouts. J'ai pas mal écumé les diverses collections et peu d'auteurs écrivent au final de l'horreur, celle que j'affectionne, plutôt sanguinolente et bouchère, celle où on grimace de dégoût et où nous sommes bien contents de ne pas être le protagoniste. L'autre, davantage dans la suggestion et la psychologie, m'est indifférente. Sur ce premier volet, John Pritchard nous glisse quelques passages sympathiques. À cela s'ajoute l'univers de médecine qui m'est un mets que j'affectionne en littérature.
L'histoire partait de bon pied avec une sorte de société secrète moyenâgeuse. le problème, c'est qu'elle devient trop vite visible et leurs membres n'ont aucun charisme. C'est bien dommage. Et puis, notre héroïne se retrouve à plusieurs reprises face à ces membres, un peu trop souvent à mon goût. le récit se complexifie avec une autre secte, celle qui souhaite se débarrasser de la première. Bref, vers la moitié, l'auteur m'a perdu. C'est dommage, que ça parte un peu dans tous les sens et la narration à la première personne me conforte dans l'idée qu'elle n'est pas adéquate pour l'action. Sinon, l'écriture est plutôt plaisante, même si je n'ai pas été pas été touché par les personnages. Un moment divertissant, rien de plus.
Je ressors mitigé de cette lecture. le livre à pourtant de sacrés atouts. J'ai pas mal écumé les diverses collections et peu d'auteurs écrivent au final de l'horreur, celle que j'affectionne, plutôt sanguinolente et bouchère, celle où on grimace de dégoût et où nous sommes bien contents de ne pas être le protagoniste. L'autre, davantage dans la suggestion et la psychologie, m'est indifférente. Sur ce premier volet, John Pritchard nous glisse quelques passages sympathiques. À cela s'ajoute l'univers de médecine qui m'est un mets que j'affectionne en littérature.
L'histoire partait de bon pied avec une sorte de société secrète moyenâgeuse. le problème, c'est qu'elle devient trop vite visible et leurs membres n'ont aucun charisme. C'est bien dommage. Et puis, notre héroïne se retrouve à plusieurs reprises face à ces membres, un peu trop souvent à mon goût. le récit se complexifie avec une autre secte, celle qui souhaite se débarrasser de la première. Bref, vers la moitié, l'auteur m'a perdu. C'est dommage, que ça parte un peu dans tous les sens et la narration à la première personne me conforte dans l'idée qu'elle n'est pas adéquate pour l'action. Sinon, l'écriture est plutôt plaisante, même si je n'ai pas été pas été touché par les personnages. Un moment divertissant, rien de plus.
