Dernier tome de "la Recherche", et je me sens comme une heptathlonienne qui a terminé sa dernière épreuve. Ce roman est plus axé sur l'intériorité que les précédents, il y est question d'écriture, de vieillesse et de mort. Il y a aussi d'autres réflexions, trop profondes pour moi, que je n'ai pas comprises. Mais j'y ai également retrouvé, avec joie, des scènes cocasses et hilarantes, ainsi que des passages salaces, qui rappellent que
Marcel Proust était d'abord un homme avant d'être un monument vénéré de la littérature française. Et c'est comme ça que je le préfère.
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