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Critique de tremb77
Troisième tome de la chronique des Bridgerton, Bénédict est sans doute le frère le plus discret des trois ainés. Reconnaissable entre mille grâce à leur couleur de cheveux, on l'identifie de suite comme un Bridgerton, le n2. Aussi cela lui fait un bien fou quand il rencontre une jeune fille belle comme le jour et incapable de l'identifier comme un des numéros à attraper dans cette chasse au mariage.
L'histoire commence comme un conte, Sophie est une Cendrillon, la fille illégitime d'un comte qui s'est marié avec une femme bien sûr exécrable, dotée de deux filles d'un précédent mariage. le père meurt de façon prématurée, laissant la pauvre Sophie seule face à sa marâtre qui accepte de la garder sous son toit. Mais uniquement pour tripler sa rente et sans lui dire que son père l'avait doté comme les deux autres. Elle devient la souffre douleur, l'esclave de cette marâtre. Un soir elle assiste au bal masqué des Bridgerton, un coup de foudre réciproque avec Bénédict. Une fuite à minuit en ne laissant que pour indice son gant avec le blason de son père.
Mise à la porte de sa marâtre, Sophie survit tant bien que mal en tant que domestique. Bénédict la retrouve deux ans plus tard, prise à partie par de jeunes aristocrates pour qui les domestiques sont des proies disponibles. Ne la reconnaissant pas, Bénédict lui offre son aide et se sent de plus en plus attirer par cette femme qui n'est pas de sa condition.
Cette deuxième partie est celle que je préfère, l'histoire copiée de Cendrillon étant de moindre intérêt, ce n'est pas mon conte préféré. C'est toujours un plaisir de retrouver cette famille si atypique, pleine d'amour, de chamailleries. Les dialogues sont toujours savoureux, les personnages attachants, la plume fluide et pleine d'humour. le quatrième tome ne devrait pas tarder à s'enchainer, Colin étant le frère le plus drôle et surtout ce sera la Révélation!
L'histoire commence comme un conte, Sophie est une Cendrillon, la fille illégitime d'un comte qui s'est marié avec une femme bien sûr exécrable, dotée de deux filles d'un précédent mariage. le père meurt de façon prématurée, laissant la pauvre Sophie seule face à sa marâtre qui accepte de la garder sous son toit. Mais uniquement pour tripler sa rente et sans lui dire que son père l'avait doté comme les deux autres. Elle devient la souffre douleur, l'esclave de cette marâtre. Un soir elle assiste au bal masqué des Bridgerton, un coup de foudre réciproque avec Bénédict. Une fuite à minuit en ne laissant que pour indice son gant avec le blason de son père.
Mise à la porte de sa marâtre, Sophie survit tant bien que mal en tant que domestique. Bénédict la retrouve deux ans plus tard, prise à partie par de jeunes aristocrates pour qui les domestiques sont des proies disponibles. Ne la reconnaissant pas, Bénédict lui offre son aide et se sent de plus en plus attirer par cette femme qui n'est pas de sa condition.
Cette deuxième partie est celle que je préfère, l'histoire copiée de Cendrillon étant de moindre intérêt, ce n'est pas mon conte préféré. C'est toujours un plaisir de retrouver cette famille si atypique, pleine d'amour, de chamailleries. Les dialogues sont toujours savoureux, les personnages attachants, la plume fluide et pleine d'humour. le quatrième tome ne devrait pas tarder à s'enchainer, Colin étant le frère le plus drôle et surtout ce sera la Révélation!
