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Critique de anniefrance


J'aime l'écriture de Michel Quint( que je lis depuis 1990), mais cette fois, je suis un peu déçue: je ne comprend pas l'italien et j'aurais aimé que ce soit plus souvent traduit; j'avais oublié le vocabulaire de l'archéologie grecque et je n'aime pas devoir consulter le dico pendant ma lecture...Je n'ai pas retrouvé la patte de Michel, à quelques expressions près. J'ai parfois été perdue entre les personnages aux noms proches: Pina et Gina par exemple; Tino et Pippo.
Un rabat décrit l'auteur comme sentinelle de la littérature (cela me paraît prétentieux ) qui défend un art engagé (est-ce vraiment le cas ici? bien sûr, on est anti Mussolini et pour l'étrange résistance d'archéologues) en prise avec notre époque? Il est un peu question de migrants, c'est vrai...
Sans doute n'ai-je pas su apprécier ce livre qui se passe en Italie du sud, pauvre, que je ne connais pas. La position de Mussolini contre des recherches qui ne vont pas dans le sens de ses idées me stupéfie, Il n'admet pas les faits à savoir que la Grèce a colonisé l'Italie à l'origine et à cause de cela deux archéologues risquent gros ainsi que ceux qui les servent, comme Pina qui raconte enfin à 97 ans et Tino, le grand-père de Pippo.
L'essentiel me semble noyé dans des histoires qui pourraient ne pas être (les flirts par ex.)
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