Ce n'est pas par hasard que
Pascal Rabaté à nommé «
Sous les galets la plage » (en référence au célèbre slogan de mai 68). En plus d'inscrire son intrigue en 62, il s'en dégage un esprit d'émancipation, de liberté sexuelle, de révolte propre à cette décennie.
Une histoire d'amour rock'n'roll plaisante à lire à défaut d'être surprenante. le scénario y est même convenu de A à Z. On est donc dans la simplicité à l'image de ses dessins.
On passe un bon moment plein de tendresse en compagnie d'Odile et Albert. Quant à savoir si cette bande dessinée me laissera un souvenir marqué… J'en doute fortement.
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