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Critique de Caro29
Ce petit livre de Denis Kormann, postfacé par Pierre Rabhi, est un très bel album – jeunesse, certes, mais qui mérite d'être mis entre toutes les mains, que ce soit celles des tout petits ou celles des plus grands.
La légende du colibri est un joli livre très coloré (autant que l'Amazonie et sa faune). Il raconte l'histoire d'un oiseau-mouche qui décide de lutter contre un incendie ravageant la forêt amazonienne. Son geste semble ridicule car c'est le plus petit oiseau du monde et qu'il va chercher quelques gouttes d'eau à la rivière pour les jeter au feu. Comment peut-il penser que son geste aura le moindre impact sur cet incendie ? Les autres animaux se moquent de lui mais le colibri, imperturbable, explique qu'il fait sa part pour lutter contre le sinistre. Ce conte est une belle métaphore : le plus petit geste, si infime soit-il, fait pour la nature, pour notre environnement, est important et fera peut-être des émules, ce qui nous permettra peut-être également de changer, de préserver certaines choses.
Dans la postface, Pierre Rabhi donne des conseils plutôt destinés aux enfants pour que chacun puisse, à l'instar du colibri, « faire sa part » – conseils bien connus (trier ses déchets, réduire sa consommation, acheter local et/ou bio, etc.) mais qu'il est toujours utile de rappeler.
La légende du colibri est un joli livre très coloré (autant que l'Amazonie et sa faune). Il raconte l'histoire d'un oiseau-mouche qui décide de lutter contre un incendie ravageant la forêt amazonienne. Son geste semble ridicule car c'est le plus petit oiseau du monde et qu'il va chercher quelques gouttes d'eau à la rivière pour les jeter au feu. Comment peut-il penser que son geste aura le moindre impact sur cet incendie ? Les autres animaux se moquent de lui mais le colibri, imperturbable, explique qu'il fait sa part pour lutter contre le sinistre. Ce conte est une belle métaphore : le plus petit geste, si infime soit-il, fait pour la nature, pour notre environnement, est important et fera peut-être des émules, ce qui nous permettra peut-être également de changer, de préserver certaines choses.
Dans la postface, Pierre Rabhi donne des conseils plutôt destinés aux enfants pour que chacun puisse, à l'instar du colibri, « faire sa part » – conseils bien connus (trier ses déchets, réduire sa consommation, acheter local et/ou bio, etc.) mais qu'il est toujours utile de rappeler.
