Le rythme de la langue emmène superbement à Madagascar, île de misère pétrie de violences : les mots dansent mais ils sont crus, acérés et poignants, les histoires sont pleines de douleurs, de sexe et de folie. Par cette
Lucarne, le paysage de mer et de vent est sculpté par Eros - désir de vie - et Thanatos - désir de mort - et fait frémir d'horreur... d'autant plus qu'on se dit que ce livre est beau alors que vraiment, ce qu'il raconte...
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