Le texte est constitué de textes courts, ciselés comme de la poésie en prose, qui évoquent tous de l'ultraviolence (corps en putréfaction, viols, génocides,…). Certains évoquent la colonisation de Madagascar par les Français, d'autres le génocide rwandais au début des années 90. le tout reste trop hermétique pour être vraiment apprécié. Une postface ou une préface auraient été des additions bienvenues pour éclairer ma lanterne.
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