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Critique de JehanneDD
Du haut de mes 25 ans, passant outre mon infernale vieillesse, je me suis décidée à participer à cette opération de Masse Critique jeunesse. J'ai en effet gardé un esprit jeune, voire même enfantin. La couverture m'avait séduite, le titre aussi, et j'ai été ravie de recevoir ce livre de quelques pages.
Tout commence avec la "toute petite chose" en question, un petit point rouge présent dès la couverture. le lecture suivra ce petit point à travers tous le livre, et ne découvrira qu'à la fin l'identité de cette forme ( ).
Les paysages sont faits de découpages et de traits de crayon, dans un style enfantin : un jeune lecteur [ou spectateur] ne sentira pas perdu dans cet univers que lui-même aurait pu créer... [et en plus ça peut leur donner des idées].
Les formes sont très épurées, l'échelle n'est pas toujours respectée entre la petite chose et le paysage autour..
A chaque page, l'enfant doit chercher la toute petite chose, ce qui demande parfois un effort,
Le texte est quant à lui très sobre, se résumant à une ligne par page, ligne formée de quelques mots. Ces mots revêtent une dimension poétique. le style m'a donné une impression de détermination, comme si la petite chose ne renoncerait jamais à avancer, malgré des évènements parfois hostiles. La froideur créée par cette sobriété est reflétée dans les couleurs sombres utilisées majoritairement, excepté à la fin où tout devient clair.
A la fin de cette aventure, l'enfant comprendra que la toute petite chose, deviendra grande... comme lui-même ... mais plus tard!
Voilà, dans le désordre, les premières impressions d'une grande fille de 25 ans, qui va soigneusement ranger ce petit trésor pour ses potentiels futurs enfants!
Mes planches favorites pour finir : la baleine et les grands espaces (sur ce dernier dessin, les couleurs tranchent avec le reste, les lignes également...
Tout commence avec la "toute petite chose" en question, un petit point rouge présent dès la couverture. le lecture suivra ce petit point à travers tous le livre, et ne découvrira qu'à la fin l'identité de cette forme ( ).
Les paysages sont faits de découpages et de traits de crayon, dans un style enfantin : un jeune lecteur [ou spectateur] ne sentira pas perdu dans cet univers que lui-même aurait pu créer... [et en plus ça peut leur donner des idées].
Les formes sont très épurées, l'échelle n'est pas toujours respectée entre la petite chose et le paysage autour..
A chaque page, l'enfant doit chercher la toute petite chose, ce qui demande parfois un effort,
Le texte est quant à lui très sobre, se résumant à une ligne par page, ligne formée de quelques mots. Ces mots revêtent une dimension poétique. le style m'a donné une impression de détermination, comme si la petite chose ne renoncerait jamais à avancer, malgré des évènements parfois hostiles. La froideur créée par cette sobriété est reflétée dans les couleurs sombres utilisées majoritairement, excepté à la fin où tout devient clair.
A la fin de cette aventure, l'enfant comprendra que la toute petite chose, deviendra grande... comme lui-même ... mais plus tard!
Voilà, dans le désordre, les premières impressions d'une grande fille de 25 ans, qui va soigneusement ranger ce petit trésor pour ses potentiels futurs enfants!
Mes planches favorites pour finir : la baleine et les grands espaces (sur ce dernier dessin, les couleurs tranchent avec le reste, les lignes également...
