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Critique de fnitter


Cinquième tome de la série publié en 1972 et cinquième dans l'ordre chronologique. Kent délaisse pour le moment les suites pour se consacrer, dans cet opus, à ce qui s'est passé juste avant le premier tome écrit de la série : Cap Sur la Gloire.

L'histoire se déroule entre octobre 1777 et janvier 1782. La Grande Bretagne est en guerre. Elle doit mater l'insurrection américaine, soutenue par les Français et affronter également les espagnols (avril 1979).
A Richard Bolitho, 22 ans, quatrième lieutenant sur le Trojan, échoit la prise en charge d'une prise, un joli petit brick avec lequel, par chance et opportunité, il arrive à faire une seconde prise, ce qui lui vaut son passage au grade de capitaine et son premier commandement.
L'hirondelle, une corvette de 18 canons (16 de 12 livres et 2 de 32) d'à peine deux ans. La corvette, navire de toutes les taches sur toutes les mers, valet à tout faire et yeux de la flotte. D'autant qu'avec ses 430 tonnes, 150 hommes et surtout 110 pieds de long, elle a presque les dimensions d'une frégate.
Notre capitaine devra faire ses preuves avec un équipage novice dans l'art de la guerre et un supérieur encore (décidément) incompétent.

J'avais écrit dans ma critique du tome précédent (Capitaine de pavillon), une possible gène de lecture due à la traduction. Je signale que je n'ai pas retrouvé cet écueil dans ce livre également traduit par Luc de Rancourt.

L'histoire est désormais bien rodée. Mise en place, scènes d'actions, on pourrait se laisser gagner par un peu de lassitude ?
Même pas. J'adore toujours autant.
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