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Critique de Yendare
Lors de la dernière OP All Stars fin juin dernier proposant plusieurs centaines de romans au format numérique pour 2 euros je n'ai vraiment pas été très raisonnable ma pal numérique c'étant vu alourdit d'une quantité beaucoup trop importante de titres.
Dans le lot il y avait des livres qui m'était totalement inconnu comme cette très belle petite nouvelle. Celui-ci ne sera pas resté des années dans ma pal, je l'ai lu début juillet aimant beaucoup le titre et la couverture et étant très intrigué par la quatrième de couverture et l'histoire singulière de la publication de ce texte. Ce fut une lecture fort plaisante avec un texte que j'ai trouvé particulièrement touchant.
Je ne comptais pas le chroniquer mais en rédigeant il y a quelques jours mon avis sur monstrueuse féerie de Laurent Pépin cette lecture est revenu à mon souvenir par leurs quelques points communs mais aussi leurs grandes différences. Deux textes très courts, deux textes sur la folie pour faire face à un traumatisme passé. Mais la où le ton est sombre dans la nouvelle de Laurent Pépin, il est plein de lumière et d'espoir dans cette dernière.
Il est difficile de parler de cette lecture sans divulgacher celle-ci. Si tu veux, tous les deux, on pourrait rêver est l'histoire d'une rencontre. Une rencontre unique entre un sdf se noyant à petit feu dans son chagrin et son côtes-du-rhône journalier et une petite fille singulière.
C'est beau, triste, touchant, plein d'espoir dans la vie, rempli d'humour et d'amour. Je dirais simplement que cela a été une lecture lumineuse, pleine de tendresse et plus profonde qu'il n'y paraît. Une lecture d'un auteur anonyme qui a simplement envoyé son manuscrit à l'auteur Jean-Yves Revault en lui demandant s'il le souhaitait bien de "l'arranger un peu".
Jean-Yves Revault a vraiment bien fait de nous permettre de découvrir ce petit bijou que j'aurais au final été bien bête de ne pas chroniquer car ce petit texte mérite le détour et pourrait plaire à de nombreux lecteurs.
Dans le lot il y avait des livres qui m'était totalement inconnu comme cette très belle petite nouvelle. Celui-ci ne sera pas resté des années dans ma pal, je l'ai lu début juillet aimant beaucoup le titre et la couverture et étant très intrigué par la quatrième de couverture et l'histoire singulière de la publication de ce texte. Ce fut une lecture fort plaisante avec un texte que j'ai trouvé particulièrement touchant.
Je ne comptais pas le chroniquer mais en rédigeant il y a quelques jours mon avis sur monstrueuse féerie de Laurent Pépin cette lecture est revenu à mon souvenir par leurs quelques points communs mais aussi leurs grandes différences. Deux textes très courts, deux textes sur la folie pour faire face à un traumatisme passé. Mais la où le ton est sombre dans la nouvelle de Laurent Pépin, il est plein de lumière et d'espoir dans cette dernière.
Il est difficile de parler de cette lecture sans divulgacher celle-ci. Si tu veux, tous les deux, on pourrait rêver est l'histoire d'une rencontre. Une rencontre unique entre un sdf se noyant à petit feu dans son chagrin et son côtes-du-rhône journalier et une petite fille singulière.
C'est beau, triste, touchant, plein d'espoir dans la vie, rempli d'humour et d'amour. Je dirais simplement que cela a été une lecture lumineuse, pleine de tendresse et plus profonde qu'il n'y paraît. Une lecture d'un auteur anonyme qui a simplement envoyé son manuscrit à l'auteur Jean-Yves Revault en lui demandant s'il le souhaitait bien de "l'arranger un peu".
Jean-Yves Revault a vraiment bien fait de nous permettre de découvrir ce petit bijou que j'aurais au final été bien bête de ne pas chroniquer car ce petit texte mérite le détour et pourrait plaire à de nombreux lecteurs.
