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Critique de Allantvers
Lecture abandonnée au bout de 200 pages : à mon grand dam, et plus encore à ma grande surprise, j'ai été vaincue par l'ennui.
Le pitch de ce brûlot subversif était pourtant aguicheur, et j'avais hâte de découvrir cette "bible de l'anticonformisme" dont j'entendais parler depuis longtemps.
Côté anticonformisme, pas de souci, on est servi.
Mais pour ce qui est du frisson littéraire, j'ai trouvé bien longues les 200 pages à l'attendre...
Le récit est clinique, froid (il faut dire que le milieu de psychiatres new yorkais dans lequel il se déroule n'aide pas!).
On dirait une thèse mise en histoire, une lecture qui ne mobilise qu'une partie du cerveau.
Il est fort probable que tout le sel de cet "Homme-dé" se concentre dans les 200 dernières pages, celles que je n'ai pas lues, quand la théorie du dé devient publique et s'applique à grande échelle.
Tant pis pour moi si c'est le cas.
Le pitch de ce brûlot subversif était pourtant aguicheur, et j'avais hâte de découvrir cette "bible de l'anticonformisme" dont j'entendais parler depuis longtemps.
Côté anticonformisme, pas de souci, on est servi.
Mais pour ce qui est du frisson littéraire, j'ai trouvé bien longues les 200 pages à l'attendre...
Le récit est clinique, froid (il faut dire que le milieu de psychiatres new yorkais dans lequel il se déroule n'aide pas!).
On dirait une thèse mise en histoire, une lecture qui ne mobilise qu'une partie du cerveau.
Il est fort probable que tout le sel de cet "Homme-dé" se concentre dans les 200 dernières pages, celles que je n'ai pas lues, quand la théorie du dé devient publique et s'applique à grande échelle.
Tant pis pour moi si c'est le cas.
