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Critique de fulmar
Le Groenland, ce n'est pas que le froid, la nuit quasi permanente et les polars glauques. Il faut lire le petit monde de Jorn Riel pour s'en persuader. Ses racontars arctiques en dix livrets de nouvelles désopilantes nous narrent les aventures de personnages déjantés où l'humour prend toujours le dessus sur la glaceur des situations.
Le fascicule "Un curé d'enfer" fait partie de cette série. A partir de tous petits riens, un cadavre disparu, un chien aphone, un ours presque humain, un crayon qui a perdu sa bonne mine ou une puce acrobate voyageuse, l'auteur danois nous fait voyager dans un kaléidoscope d'histoires à la limite du fantastique.
Dépaysement assuré avec ces nouvelles fraiches et glaçantes. A lire entre deux gros romans, histoire de se ressourcer sur la banquise.
Le fascicule "Un curé d'enfer" fait partie de cette série. A partir de tous petits riens, un cadavre disparu, un chien aphone, un ours presque humain, un crayon qui a perdu sa bonne mine ou une puce acrobate voyageuse, l'auteur danois nous fait voyager dans un kaléidoscope d'histoires à la limite du fantastique.
Dépaysement assuré avec ces nouvelles fraiches et glaçantes. A lire entre deux gros romans, histoire de se ressourcer sur la banquise.
