Miss Peregrine et les enfants particuliers, tome 5 : La confrérie des oiseaux

– Ils mijotent une soupe de résurrection, comme un gang de sorcières ! « Double, double, peine et trouble ! Feu brûle, et, chaudron, bouillonne ! »

Horace est un prophète, ai-je ajouté. À mi-temps, au moins.

mon plan était très simple, pour ne pas dire primaire. Courir vite.

-La plupart des gens s'imaginent que les ranimés ressemblent à des zombies en décomposition. Pas ici ! Nos morts sentent bon et sont bien habillés. Bien dirigés, ils peuvent faire presque tout ce que ferait un être vivant.

Vous, les habitants des villes, ou ceux qui vivez en paix, vous ne savez pas toujours si vos amis seraient prêts à traverser le feu pour vous. Dans les plaines, en revanche, nos amis ont souvent l'occasion de prouver leur courage. (William F. Cody, dit Buffalo Bill)

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En même temps, je détestais cette méfiance instinctive. J'en avais assez. Je voulais recommencer à me réjouir sans arrière-pensée. Réapprendre à espérer.

Je suis votre maîtresse et votre servante. Vous comptez plus pour moi que tous les oiseaux dans le ciel et les cieux au-dessus. Si vous m'aimez, j'espère l'avoir mérité.

Je crois que j'ai développé un don pour douter des bonnes nouvelles.

– Pensez à vos pulls, a dit Horace en écartant sa cravate pour nous montrer le sien. Si vous devez vous faire tirer dessus, arrangez-vous pour que ce soit entre le cou et la taille.
– Pendant qu’on y est, essayez de ne pas vous faire tirer dessus du tout, a suggéré Noor. Je viens de vous rencontrer. Personne n’a le droit de mourir, OK ?

- Je suis désolé pour tous les problèmes que j’ai causés, ai-je dit. Mais je ne regrette pas d’avoir…
- Les problèmes trouvent toujours une solution, m’a-t-elle interrompu. Mais nous n’aurions pas pu supporter de vous perdre.