La vie est un choix, il suffit de choisir la vie que l'on veut vivre.
Je ne crois pas au destin, je pense plutôt que nous bâtissons notre vie. Je ne crois pas aux miracles, mais plutôt à la synchronicité.
J'aimais ma vie, j'aimais mes choix, j'aimais me rendre la vie difficile.
Je crois sincèrement que les plus profondes merveilles du genre humain sont réalisées par la fraternité et non par les ressources pécuniaires.
Depuis que j'étais en Europe de l'Est, je ne voyais plus dans les yeux des gens que je croisais du scepticisme, de la colère ou des interrogations. En me voyant, les habitants se contentaient de rire. C'est simplement cela dont j'avais besoin. Ils n'essayaient pas de comprendre ou de me demander «Pourquoi ?». Non, ils savaient que la nature humaine est trop unique pour qu'on la juge ou pour qu'on la comprenne totalement. C'était par leur respect que je sentais cette fraternité, cette charité tellement puissante.
La malchance est l'oeuvre de notre esprit, au même titre que la peur.
Je crois sincèrement que c'est dans la simplicité que l'on accède au bonheur.
Les « au revoir » font partie du cheminement humain, mais la douleur, elle, n'est jamais équivoque.
Une vie sans souffrance est platonique, idéalisée, vide de sens.
L'authenticité n'est pas toujours agréable à voir, mais elle représente l'humain dans toute sa splendeur.